Publicité
La bourse ferme dans 7 h 47 min
  • CAC 40

    7 966,18
    -57,08 (-0,71 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    4 894,14
    -42,43 (-0,86 %)
     
  • Dow Jones

    37 775,38
    +22,07 (+0,06 %)
     
  • EUR/USD

    1,0653
    +0,0007 (+0,06 %)
     
  • Gold future

    2 402,50
    +4,50 (+0,19 %)
     
  • Bitcoin EUR

    60 570,46
    +3 294,98 (+5,75 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 329,14
    +16,52 (+1,26 %)
     
  • Pétrole WTI

    83,68
    +0,95 (+1,15 %)
     
  • DAX

    17 662,37
    -175,03 (-0,98 %)
     
  • FTSE 100

    7 840,22
    -36,83 (-0,47 %)
     
  • Nasdaq

    15 601,50
    -81,87 (-0,52 %)
     
  • S&P 500

    5 011,12
    -11,09 (-0,22 %)
     
  • Nikkei 225

    37 068,35
    -1 011,35 (-2,66 %)
     
  • HANG SENG

    16 239,54
    -146,33 (-0,89 %)
     
  • GBP/USD

    1,2441
    +0,0002 (+0,02 %)
     

Le Crédit Mutuel condamné après le suicide d'une jeune cliente victime d'une escroquerie

Le Palais de Justice de Paris
Le Palais de Justice de Paris

Le Crédit Mutuel de Corbeil-Essonnes a été condamné pour « imprudence et négligence » par le tribunal d’Evry-Courcouronnes à verser plusieurs milliers d’euros de dommages et intérêts à la famille d’Océane. L'établissement reconnaît sa faute : la mineure n'aurait jamais dû pouvoir déposer trois chèques falsifiés à la banque sans que ses parents soient prévenus. A la manœuvre, son petit-ami de l'époque qui lui avait demandé d'encaisser les chèques volés avant de retirer le liquide grâce à sa carte bancaire.

Derrière cet épilogue judiciaire, il reste un drame. En mars 2018, alors âgée de 18 ans, Océane s'est suicidée pour avoir été victime de cette escroquerie, raconte Le Parisien. La jeune fille avait longuement expliqué son geste dans une lettre de quatre pages adressée à sa famille.

Lire la suite sur MoneyVox

Voir également
- Impôts : comment déduire les frais de garde d'enfants
- MaPrimeRenov' : pourrez-vous toucher les aides promises ?
- Pajemploi : la déclaration d'avril est ouverte... mais pas le formulaire « chômage partiel »