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Covid-19, Ukraine, inflation : “Qui sont les plus grands perdants ?”

Pandémie de Coronavirus, guerre en Ukraine, flambée inflationniste. Les conséquences de ces trois catastrophes sont malheureusement loin d’être terminées, mais il est d’ores et déjà possible d’en dresser un premier bilan, en se posant la question suivante : qui sont les plus grands perdants de ces trois crises ?

Malheureusement, comme cela s’est déjà observé lors des crises précédentes, les grands perdants sont la Zone Euro et la grande majorité de ses membres et notamment la France. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : de 2019 à 2021, le PIB annuel réel (c’est-à-dire hors inflation) de l’UEM enregistre une baisse de 1,5%, celui de la France recule de 1,7%, celui de l’Allemagne de 2,2%, celui de l’Italie de 3,1%. Et ce, en dépit de l’explosion des dettes publiques et de son financement par une “planche à billets” de la BCE complètement démentielle.

Si on élargit le prisme à 2007, les variations du PIB sont également détonantes : seulement +10,3% pour le PIB français, soit une croissance annuelle moyenne de 0,7%. Pour l’Allemagne, le résultat est à peine meilleur : respectivement +13,5% et +0,9%. Que dire alors de l’ensemble de la Zone Euro, avec des “performances” de 8,6% et 0,6%. Mais, il y a pire. En effet, en Italie, le PIB réel de 2021 est inférieur de 6,6% à son niveau de 2007. En Grèce, il accuse une chute de 27,8%. Encore plus fou, le PIB réel italien de 2021 est à peine supérieur à celui qui prévalait en 2000. Celui de la Grèce de 2021 équivaut à celui de 1998.

L’Italie et (...)

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