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Covid-19. Fermeture des frontières au Japon : “Est-ce un cauchemar ?”

Une étudiante française, qui devait partir en 2020 pour le Japon et n’a toujours pas pu s’y rendre, explique son désarroi.

Début novembre, le quotidien Nikkei Asia annonçait que le Japon devait très rapidement lever les restrictions de voyage pour les étudiants et les travailleurs étrangers (mais pas les touristes). De quoi réjouir les universités, notamment. Mais avec l’arrivée du variant Omicron, Tokyo vient d’annoncer le 29 novembre que les frontières du pays allaient se refermer dès le lendemain pour tous les étrangers quelle que soit leur situation ou leur pays d’origine. Un coup de massue pour les étudiants comme la Française Alia Gallet-Pandellé, qui fait régulièrement part de son désarroi sur Twitter.

“Est-ce un cauchemar ?” se demande la jeune femme, étudiante en double master à l’Institut national des sciences appliquées (Insa) de Lyon et à l’université du Tohoku, à Sendai, au Japon. Interrogée par le site Study International, elle explique qu’elle aurait dû partir au Japon en octobre 2020, mais que l’établissement japonais a reporté sa venue à avril 2021 en raison de la pandémie. Elle a alors pris son mal en patience “naïvement”, souligne-t-elle. Pendant cette période, elle suit des cours en ligne, ce qui est parfois difficile psychologiquement, mais aussi matériellement notamment pour les expériences en laboratoire. Passé le mois d’avril, “n’étant ni boursière du gouvernement japonais, ni DJ, ni sportive”, elle ne peut toujours pas se rendre au Japon. L’espoir des annonces de novembre vient donc de s’évanouir. Une déception de plus.

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Comme beaucoup d’autres jeunes, Alia Gallet-Pandellé s’est intéressée très jeune au Japon et à sa culture grâce aux anime et aux mangas, puis a cherché à approfondir ses connaissances. Cette passion l’a justement

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