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Covid-19 : et si un autre animal était à l'origine de la pandémie ?

PIXABAY

L'origine de la pandémie de Covid-19 reste énigmatique et suscite toujours autant l'intérêt des observateurs. Longtemps, le pangolin a été accusé d'être l'élément déclencheur sur le marché du Wuhan, en Chine. Puis, l'hypothèse d'une fuite d'un laboratoire de la ville a été jugée plausible. Hypothèse étayée le mois dernier encore par le ministère américain de l'Énergie grâce à de nouveaux éléments du renseignement. Selon Numerama, le virus peut aussi être né d'une zoonose, c'est-à-dire un agent infectieux qui saute d'un animal vers l'être humain ou inversement. Parmi les animaux, ont été évoqués également les chauves-souris circulent aussi des coronavirus. Puis les pangolins donc, et même les visons quelques mois après le début de la pandémie mondiale.

Au début de l'année, la base de données internationale sur les séquences virales (GISAID) a été complétée de données, notamment celles sur les séquences métagénomiques des animaux présents sur le marché de Wuhan à cette période. Selon Numerama, une étude, diffusée en preprint le 20 mars dernier (donc ni relue, ni publiée), met en exergue tous les échantillons positifs au Covid-19. Et c'est là qu'apparaît le chien viverrin, aussi appelé racoon dog, une espèce proche du raton laveur ou du renard. Plusieurs de leurs échantillons étaient positifs. Cela ne veut pas dire pour autant que les animaux étaient infectés.

Dans les premières conclusions de cette étude, il est précisé que les chiens viverrins "sont sensibles à l’infection par le (...)

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