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Contrôle parental étendu contre l’accès aux sites porno : 3 questions sur la future loi

contrôle parental
contrôle parental

Le Parlement français débat en début d’année d’une proposition de loi qui vise à encourager l’utilisation du contrôle parental sur les services et les équipements permettant d’aller sur Internet. Objectif : tenir les mineurs éloignés de la pornographie.

C’est à partir du 12 janvier 2022 que va être examinée à l’Assemblée nationale la proposition de loi visant à généraliser la disponibilité des outils de contrôle parental sur les équipements et les services permettant d’accéder à Internet. Un texte qui doit être rapidement examiné : le gouvernement a engagé la procédure accélérée, afin d’espérer une adoption rapide, en janvier ou février 2022.

Pourquoi généraliser les outils de contrôle parental ?

L’argument avancé part d’un constat mis en avant dans l’exposé des motifs : trop de mineurs ont accès à de la pornographie sur Internet, à des âges parfois vraiment très bas. Un enfant sur trois, environ, a été ainsi confronté à des contenus X, lit-on dans la proposition de loi. Et le texte met en parallèle l’ignorance assez répandue des parents sur ce que font leurs enfants en ligne.

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Soutenue par la majorité présidentielle, la proposition de loi traduit une demande d’Emmanuel Macron. Le chef de l’État plaidait pour une activation par défaut du contrôle parental. Cependant, l’obligation en tant que telle n’a pas été reprise. La mesure s’inscrit dans un mouvement plus large visant à éloigner davantage les mineurs de la pornographie, y compris via le blocage.

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