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Le Conseil scientifique "avait prévu la 2ème vague" mais est "surpris par sa brutalité"

Invité sur RTL lundi matin, le président du Conseil scientifique, Jean-François Delfraissy a estimé que si la deuxième vague était prévue, sa «brutalité» était une surprise.

Depuis le mois de septembre, le Conseil scientifique, avec à sa tête son président Jean-François Delfraissy, tente de mettre en garde contre un rebond des cas de covid-19. Alors que les chiffres sont aujourd’hui alarmants en France et partout en Europe, le médecin a expliqué lundi matin sur RTL que la seconde vague qui touche actuellement le pays risquait d’être «plus forte que la première» et que «le retentissement sur le système de santé» va être immédiat dans les trois semaines qui viennent.

D’après Jean-François Delfraissy, la «situation est difficile, voire critique». Si officiellement, le nombre de cas positifs en France a battu un nouveau record, s’établissant à 52.010 en 24 heures, le président du Conseil scientifique estime lui ces cas positifs quotidiens à «100.000», en raison des asymptomatiques notamment et ceux qui ne se font pas dépister. «On avait prévu qu’il y aurait cette deuxième vague, on l’avait répété, dit, même si nous n’avions pas été crus début septembre», a-t-il affirmé. Il a cependant reconnu être «surpris» par la brutalité de ce qui est en train de se passer depuis 10 jours». Comme début d’explication, il avance l’hypothèse de la chute des températures, expliquant que «le virus est relativement sensible au climat».

2.500 malades en réanimation

«La France se situe à un niveau maintenant qui est inquiétant», avait lancé Jean-François Delfraissy début septembre, suscitant de nombreuses réactions. Il avait annoncé que le gouvernement devrait prendre «des décisions difficiles» pour tenter d’endiguer la pandémie.

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Le nombre de malades en réanimation a continué de progresser en France dimanche, dépassant les 2.500, selon les chiffres de Santé publique France. La veille, le pays avait enregistré plus(...)


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