Confinements locaux : ce qui est interdit, ce qui reste autorisé
Alors que 63 communes des Alpes-Maritimes et l'agglomération de Dunkerque sont soumises à un reconfinement pour deux week-ends, Europe 1 fait le point sur les différentes mesures prises par les autorités sur place. Il sera notamment interdit de sortir de chez soi, sauf pour une activité physique d'une heure maximum pour un déplacement justifié par un motif dérogatoire.
À Dunkerque et dans les Alpes-Maritimes, il devrait régner ce week-end un sentiment de déjà-vu. Les deux zones, confrontées à une forte circulation de l'épidémie de coronavirus, doivent être soumises deux week-ends de confinement, dont le premier a débuté vendredi à 18 heures : jusqu'à lundi 1er mars 6 heures pour le premier, et du vendredi 5 mars 18 heures au lundi 8 mars 6 heures pour le deuxième. Commerces ouverts, motifs dérogatoires pour se déplacer… Europe 1 fait le point sur ce qui y est interdit et autorisé.
Quelles zones sont concernées ?
Dans les Alpes-Maritimes, le confinement concerne la ville de Nice et 63 communes du littoral du département, de Théoule-sur-Mer à Menton. La liste des communes concernées est disponible ici. Dans le Nord, la mesure s'applique à l'agglomération de Dunkerque et la communauté de communes Hauts de Flandre, soit 250.000 habitants.
Ce qui est interdit
Pendant ces deux week-ends, les déplacements hors du domicile et non justifiés par un motif dérogatoire seront interdits. Les déplacements autorisés pour une activité physique individuelle, ou pour promener des animaux de compagnie, ne pourront pas excéder une heure et dépasser un rayon de 5 km autour du domicile.
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Dans les zones des Alpes-Maritimes concernées par le confinement, tous les commerces, à l'exception des magasins d'alimentation, les pharmacies, les laboratoires médicaux, les débits de tabac,...
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