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Le confinement aurait détruit plus d’années de vie qu’il n’en a sauvé

Le confinement aurait eu un impact plus lourd que les bénéfices engendrés par la lutte contre le virus. 
Le confinement aurait eu un impact plus lourd que les bénéfices engendrés par la lutte contre le virus.

Le poids du confinement exprimé en années de vie. Ce mardi, nos confrères du Figaro révèlent une étude du think tank Génération Libre qui compare les effets bénéfiques ou néfastes des différentes périodes de confinement exprimées en années de vie gagnées ou perdues. Le directeur de Génération Libre prévient que « l'objet n'est pas de dire s'il fallait ou non confiner le pays, mais de proposer une première tentative d'évaluation des conséquences du confinement qui réconcilie l'économie et la santé ».

« Opposer les deux n'a aucun sens, ajoute-t-il, car elles sont intimement liées : lorsque la situation économique se dégrade, les personnes dont le niveau de revenu diminue perdent aussi en espérance de vie. » Pour estimer le nombre d'années de vie gagnées, l'étude mesure « l'effet d'une réduction des interactions sociales sur la circulation du virus » sur une population représentative du pays par rapport à une vie sociale normale.

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Ainsi, l'étude estime qu'environ 100 000 morts ont été évitées grâce aux « politiques de limitation des libertés » combinées à l'adaptation des comportements (gestes barrières, masques, etc.). Pour parvenir en années de vie gagnées, il convient de multiplier ces chiffres par le nombre d'années moyen que les personnes, dont la mort n'a pas pu être évitée, auraient pu espérer vivre, soit cinq années. La politique sanitaire aurait ainsi permis de sa [...] Lire la suite