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La Cnil se méfie de la reconnaissance faciale aux JO de Paris en 2024

reconnaissance faciale
reconnaissance faciale

Si le gouvernement n’a pas prévu de reconnaissance faciale dans son projet de loi sur les JO de 2024, des amendements de parlementaires tentent de l’ajouter.

Officiellement, il n’est pas prévu d’inclure de la reconnaissance faciale à des fins de sécurité lors des Jeux Olympiques à Paris en 2024. Le gouvernement s’y est engagé et le projet de loi ne contient pas de disposition de la sorte (il est prévu une analyse comportementale de la foule via des algorithmes pour déceler des situations atypiques, néanmoins). Mais cette piste pourrait très bien revenir par la fenêtre.

Le risque d’un amendement

C’est la crainte exprimée par Marie-Laure Denis, la présidente de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil). Elle a profité de son passage sur France Info le 24 janvier pour appeler les parlementaires à suivre la voie tracée par l’exécutif, en s’abstenant de déposer des amendements instaurant la reconnaissance faciale en France, même pour les JO.

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« Les membres du collège de la Cnil appellent les parlementaires à ne pas introduire de la reconnaissance faciale, c’est-à-dire de l’identification des personnes à la volée dans l’espace public. L’espace public est un lieu où s’exercent de nombreuses libertés publiques, liberté de manifestation, de culte et autres », a déclaré Marie-Laure Denis.

Les caméras de sécurité sont des objets connectés vulnérables. // Source : Unsplash
Les caméras de sécurité sont des objets connectés vulnérables. // Source : Unsplash

L’autorité de protection des données personnelles a des raisons de se méfier de ce qui peut se passer à l’Assemblée nationale et du Sénat.

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