Publicité
La bourse est fermée
  • CAC 40

    8 205,81
    +1,00 (+0,01 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    5 083,42
    +1,68 (+0,03 %)
     
  • Dow Jones

    39 807,37
    +47,29 (+0,12 %)
     
  • EUR/USD

    1,0786
    -0,0007 (-0,06 %)
     
  • Gold future

    2 254,80
    +16,40 (+0,73 %)
     
  • Bitcoin EUR

    64 669,89
    -835,62 (-1,28 %)
     
  • CMC Crypto 200

    885,54
    0,00 (0,00 %)
     
  • Pétrole WTI

    83,11
    -0,06 (-0,07 %)
     
  • DAX

    18 492,49
    +15,40 (+0,08 %)
     
  • FTSE 100

    7 952,62
    +20,64 (+0,26 %)
     
  • Nasdaq

    16 379,46
    -20,06 (-0,12 %)
     
  • S&P 500

    5 254,35
    +5,86 (+0,11 %)
     
  • Nikkei 225

    40 369,44
    +201,37 (+0,50 %)
     
  • HANG SENG

    16 541,42
    +148,58 (+0,91 %)
     
  • GBP/USD

    1,2617
    -0,0005 (-0,04 %)
     

Climat : l’eau est un enjeu vital, qui force à agir maintenant

Le réchauffement climatique menace le cycle de l’eau, devenue trop rare ou au contraire source de dangereuses inondations, ont rappelé scientifiques et spécialistes de sa gestion. La préservation de ce bien commun, prioritaire pour la vie des humains, des animaux et des plantes a été un des sujets majeurs de la journée « Sciences et Climat », le 17 septembre 2021, lors de l’événement « Le monde nouveau » auquel Sciences et Avenir a participé.

"Si on ne fait rien, il manquera 1,2 milliard de m3 d’eau dans dix ans (1)". Le constat de Guillaume Choisy, directeur général de l’agence de l’eau Adour-Garonne, est sans appel : "Il faut changer maintenant". Le était déjà très clair, qui a consacré un chapitre au "volet essentiel du cycle de l’eau". Comme le rappelle Christophe Cassou du CNRS (Cerfacs), co-auteur de ce rapport et que les lecteurs de Sciences et Avenir connaissent bien pour ses chroniques mensuelles consacrées au climat (2), "les trente prochaines années seront déterminantes. On va vivre les changements du cycle".

Les pluies sur le Gard, un événement "monstrueux" selon Météo-France

L’eau, une urgence. Que l’on songe aux inondations, aux sécheresses ou à la montée du niveau de l’océan, partout dans le monde et aussi dans les régions françaises. Elle était au cœur des travaux de la journée « Sciences et climat », vendredi 17 septembre 2021, à l’université Paul-Sabatier à Toulouse (Occitanie), , auquel Sciences et Avenir a été convié pour discussion sur les fake news (3). "Il faut envisager une ligne (latitude) entre Paris et Madrid, dont ne sait pas encore l’exact emplacement" avec les scénarios régionaux actuels de l’évolution du climat, indique Benoît Meyssignac, du laboratoire d’études en géophysique et océanographie (LEGOS) à l’agence spatiale française CNES.

De gauche à droite, Guillaume Choisy, Benoît Meyssignac, Valérie Demarez, Christophe Cassou. Animation Christine Bouillot, chef d’édition Sud Radio. En visio, Eric Servat. Crédit Dominique Leglu.

PUBLICITÉ

La précision de cet emplacement est d’autant plus importante qu’elle donnera une idée plus claire du niveau et du type de précipitations à attendre, au nord et au sud de ladite ligne... On a vu récemment des pluies diluviennes s’abattre sur le Lot-et-Garonne (Agen) ou sur le Gard – ce dernier événement a même été qualifié de "monstrueux" par Météo-France – et au niveau régional, nombre de décideurs se demandent quel sort leur sera réservé d’ici qu[...]

Lire la suite sur sciencesetavenir.fr

A lire aussi