Publicité
La bourse est fermée
  • Dow Jones

    40 814,69
    -47,02 (-0,12 %)
     
  • Nasdaq

    17 414,50
    +18,97 (+0,11 %)
     
  • Nikkei 225

    36 833,27
    +1 213,50 (+3,41 %)
     
  • EUR/USD

    1,1044
    +0,0027 (+0,24 %)
     
  • HANG SENG

    17 240,39
    +131,68 (+0,77 %)
     
  • Bitcoin EUR

    52 051,20
    +466,16 (+0,90 %)
     
  • XRP EUR

    0,50
    +0,02 (+4,26 %)
     
  • S&P 500

    5 553,05
    -1,08 (-0,02 %)
     

Clamart : 895.000 euros, c'est la somme que réclame un promoteur à un habitant

Convegni_Ancisa/Pixabay

"Depuis mon appartement je voyais la tour Eiffel et le Sacré-Cœur et aujourd’hui, j’ai Disneyland devant ma fenêtre. Mon bien n’a pris aucune valeur depuis 2011 et donc oui, désormais, je ferme ma gueule !" L'amertume de Jean-Baptiste Cortet se ressent de loin. Dans les colonnes du Parisien, cet habitant de Clamart (Hauts-de-Seine) ne décolère pas. Il doit payer 895.000 euros de dommages et intérêts à un promoteur qui lui reproche d'avoir formulé des recours abusifs contre un permis de construire.

Depuis trois ans, le Clamartois est sous le coup d'une procédure de la part de la SAS Clamart Secteur Gare (société formée par BNP Immobilier et la SAEML Vallée Sud Développement) pour ses recours contre la construction d'un immeuble de logements juste en face de chez lui. L'immeuble a par ailleurs été construit entre-temps.

Tout a commencé en octobre 2020, lorsque Jean-Baptiste Cortet, 60 ans, découvre un panneau sur lequel est affiché un permis de construire de logements. "Ce panneau avait été posé en sortie de ville dissimulé derrière une grille", se souvient-il auprès de nos confrères. Selon lui, c'est une manière de cacher l'annonce et décide de faire un recours gracieux le 6 janvier 2020 contre ce permis de construire.

À peine un mois plus tard, le recours est rejeté par la municipalité qui le juge hors délai. "Je pensais m’arrêter là, mais lors du premier confinement, mon avocat m’a dit qu’il avait vu des jurisprudences favorables et je lui ai donné mon accord pour déposer un (...)

(...) Cliquez ici pour voir la suite