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Les choix culture du « Point » : superhéros foufous ou veuve joyeuse ?

Elizabeth Olsen et Paul Bettany, alias Wanda/La Sorcière rouge et Vision dans la série étrange et décalée WandaVision.
Elizabeth Olsen et Paul Bettany, alias Wanda/La Sorcière rouge et Vision dans la série étrange et décalée WandaVision.

WandaVision : l'univers Marvel réinventé en mode sitcom

Les films Marvel vous manquent ? Rabattez-vous sur les séries ! Alors que les mythiques super-justiciers restent au chômage technique en salle jusqu'à nouvel ordre, c'est sur le petit écran que le studio filiale de Disney continue pour l'instant de forer son gisement. Feuilleton dérivé des films Avengers et proposé par la plateforme Disney+ depuis le 15 janvier, WandaVision se déroule chronologiquement après Avengers : Endgame (2019) et ouvre une nouvelle phase de l'univers Marvel avec un concept particulièrement foufou. Nous retrouvons les super-héros Wanda Maximoff (alias la Sorcière rouge, jouée par Elizabeth Olsen) et son mari, l'androïde Vision (Paul Bettany), jouant leur propre rôle dans une sitcom en noir et blanc des années 1950 dont ils semblent prisonniers, située dans la petite ville imaginaire de Westview.

Bons mots, rires enregistrés, gags-vaudeville : Wanda et Vision semblent heureux et l'on se croirait vraiment au bon vieux temps d'Eisenhower, mais dès le générique de fin, on comprend que, forcément, toute cette histoire n'est que simulacre. Il faudra attendre d'avoir vu les 9 épisodes de cette mini-série pour se prononcer définitivement, mais, d'ores et déjà, les deux premiers segments de WandaVision surprennent. Amusante, alerte, ludique, inventive, la série joue avec divers niveaux de codes, tout en titillant notre fibre paranoïaque (qui tire donc les ficelles de ces petites saynètes [...] Lire la suite