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Chirurgie esthétique : une secrétaire médicale empoche un pactole avec des injections clandestines

Peter Dazeley

L’alerte a été donnée en mai dernier auprès de l’Ordre des médecins par une chirurgienne esthétique ayant reçu une patiente défigurée après une intervention chirurgicale. Cette patiente explique aujourd’hui au Parisien avoir vu sa bouche « doubler de volume » au point de ne plus pouvoir « bouger les lèvres » et « de ne plus pouvoir parler ». L’Ordre des médecins a porté plainte, tout comme la patiente.

La personne suspectée d’avoir pratiqué cette intervention est une femme de 36 ans, secrétaire médicale de profession. Ne détenant qu’un CAP de coiffure, elle aurait effectué de très nombreuses injections de botox et d’acide hyaluronique depuis 2019, empochant au total 186.000 euros. Ces interventions se sont d’abord dans des centres dédiés les jours de fermeture, puis dans appartement loué par la suspecte. Cette femme sera jugée au mois de février pour « exercice illégal de la médecine » et « emploi illicite de médicaments par ordonnance falsifiée ».

Dans Le Parisien, le docteur Adel Louafi, président du Syndicat national de chirurgie plastique, alerte sur une « explosion du nombre de formes graves » après de nombreux cas de patientes défigurées à la suite d’injections illégales. En janvier dernier, la secrétaire générale du Syndicat national de chirurgie plastique reconstructrice et esthétique avait alerté sur une explosion de ce type de situations au cours des trois dernières années. Les chirurgiens esthétiques dénoncent des interventions faites par des « injectrices » souvent (...)

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