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Chine, Japon, Corée du Sud : comment l'Asie a accéléré sa campagne de vaccination après un retard à l'allumage

Dimanche, la Chine a annoncé avoir dépassé la barre du milliard de doses administrées. Elle pèse désormais pour plus d'un tiers du nombre de doses injectées dans le monde entier, estimé à 2,75 milliards environ. Il y a encore quelques mois, Pékin était pourtant en retard dans sa campagne de vaccination, très loin derrière les Etats-Unis, Israël et même l'Union européenne. Il est vrai que la Chine n'avait pas à se presser. Elle peut se targuer d'une situation épidémique sous contrôle depuis plus d'un an, notamment grâce à un système reposant sur des quarantaines obligatoires, des dépistages massifs et des applications mobiles de contrôle des déplacements.

Elle en a profité pour distribuer des doses à l'étranger et faire de la diplomatie vaccinale. Le manque de données disponibles sur les quatre vaccins chinois actuellement utilisés (les deux de Sinopharm, ceux de Sinovac et de CanSino Biologics) n'a pas non plus facilité le lancement de la campagne. La découverte de scandales de vaccins frelatés depuis une dizaine d'années a aussi pu contribuer à refroidir la population dans un premier temps.

Chine, Japon et Corée du Sud n'étaient pas pressés

Dans les autres grandes pays asiatiques, à commencer par la Corée du Sud et le Japon, la situation a aussi mis du temps à se décanter.

Grâce à sa maîtrise de l'épidémie, Séoul "a pu attendre et négocier des meilleurs prix que si elle avait dû acheter dans l'urgence'', expliquait au JDD Antoine Bondaz, enseignant à Sciences Po et cherche...
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