Publicité
La bourse est fermée
  • Dow Jones

    38 486,76
    +246,78 (+0,65 %)
     
  • Nasdaq

    15 704,99
    +253,68 (+1,64 %)
     
  • Nikkei 225

    37 552,16
    +113,55 (+0,30 %)
     
  • EUR/USD

    1,0707
    +0,0050 (+0,47 %)
     
  • HANG SENG

    16 828,93
    +317,24 (+1,92 %)
     
  • Bitcoin EUR

    62 294,15
    +253,74 (+0,41 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 435,94
    +21,18 (+1,50 %)
     
  • S&P 500

    5 069,22
    +58,62 (+1,17 %)
     

Votre chien sent (littéralement) votre stress

Les chiens sont connus pour leur incroyable sens de l’odorat. Ils sont aussi capables de flairer l’odeur de notre stress. La doctorante Clara Wilson raconte son expérience étonnante avec ces animaux dans The Conversation.

Les chiens partagent une longue histoire avec notre espèce, ce qui leur confère une étonnante capacité à décrypter les signaux que nous leur envoyons. Ils possèdent également un incroyable sens de l’odorat, qui leur permet de détecter, à partir de leur seule odeur, certaines maladies qui affectent les êtres humains, comme le Covid-19 ou le cancer du poumon. La question de savoir si ces capacités s’étendent à la détection d’odeurs associées à des états psychologiques a en revanche été beaucoup moins explorée.

Mes collègues et moi-même avons voulu déterminer si les chiens pouvaient distinguer, grâce à leur flair, les échantillons d’odeurs prélevés sur une même personne, avant et après qu’elle ait subi un stress. Il faut savoir que lorsque nous sommes stressés, des changements hormonaux et des modifications du système nerveux surviennent et modifient les odeurs produites par notre corps.

PUBLICITÉ

Pour déterminer si les chiens pouvaient effectivement détecter de telles différences, nous nous sommes inspirés des protocoles appliqués aux chiens de détection biomédicale, des chiens renifleurs dont les talents sont employés en laboratoire. Nous les avons combinés avec des techniques employées pour tester la façon dont nos compagnons canins perçoivent les odeurs. Nos résultats ont été publiés dans la revue PLOS One.

[Lire la suite]