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Ces deux infirmiers auraient détourné une petite fortune à la CPAM

Deux infirmiers libéraux soupçonnés d'avoir détourné 680 000 euros - Getty Images/iStockphoto (Getty Images/iStockphoto)

Deux infirmiers libéraux du nord de la France sont soupçonnés d’avoir détourné 680 000 euros auprès de la Caisse Primaire d’Assurance Maladie (CPAM) de Roubaix-Tourcoing. Ils seront jugés le 3 février 2022 par le tribunal correctionnel de Lille.

Leurs pratiques présumées frauduleuses restent un mystère mais leur montant est bien connu. Deux infirmiers libéraux exerçant dans la ville de Tourcoing, dans le département du Nord, sont en effet soupçonnés d’avoir détourné près de 680 000 euros à la CPAM, rapporte La Voix du Nord. Ils seront jugés par le tribunal correctionnel de Lille le 3 février 2022.

En attendant leur jugement, les deux hommes ont été placés sous contrôle judiciaire strict afin qu’ils ne puissent ni s’échapper ni entraver l’enquête à leur propos. Celle-ci est d’ailleurs menée par deux groupes bien distincts mais collaborant étroitement : la brigade de sûreté urbaine de Tourcoing et le GIR, le Groupe interministériel de recherches. Spécialisé dans la lutte contre la délinquance financière sous toutes ses formes, cette petite unité présente dans toutes les régions de France est composée de policiers, de douaniers, d’inspecteurs du travail, de l’URSSAF, etc. Elle permet de faciliter la collaboration entre les services et de la rendre plus efficace.

Des méthodes mystérieuses

L’enquête sur ces deux hommes, l’un âgé d’une quarantaine d’années et l’autre d’une cinquantaine d’années, a été farouchement protégée par les services de police. Si bien que l’on ne sait pas à ce jour comment les deux accusés ont pu détourner de si grosses sommes d’argent en si peu de temps. Et pour cause, leurs méfaits n’auraient été commis que sur une période allant de 2017 à 2019, soit à peine deux ans.

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Des réponses arriveront nécessairement au cours de leur procès au mois de février prochain. D’ici là, ils sont donc placés sous contrôle judiciaire et ils n’ont pas le droit d’exercer leur métier d’infirmiers libéraux.

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