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Ce que vous ne savez sûrement pas sur Philippe Martinez, l’homme fort de la CGT

Ce que vous ne savez sûrement pas sur Philippe Martinez, l’homme fort de la CGT

Blocage des raffineries, menaces de blocus des centrales nucléaires… depuis quelques semaines, le "big boss" de la CGT s’impose comme le principal opposant à François Hollande et à la loi travail ! Connaissez-vous le passé de cet ex-technicien de Renault ? Capital avait, il y a peu, levé le voile sur quelques-uns de ses petits secrets.

Son déguisement d'Indien. Philippe Martinez a grandi à Rueil-Malmaison, une banlieue huppée à l'ouest de la capitale. Mais il ne vivait pas dans une belle gentilhommière en meulière, comme certains de ses camarades de l'école Maximilien-de-Robespierre. Son père ouvrier et sa mère femme de ménage n'en avaient pas les moyens. Ils louaient un modeste appartement au quatrième étage d'une petite cité ouvrière située en bas du mont Valérien. Pas la misère, mais pas la grande vie non plus. Et déjà la conscience des différenciations sociales chevillée au corps. «Quand on jouait aux cow-boys et aux Indiens, il voulait toujours être un Indien, pour se trouver du côté des opprimés», se souvient Raynal Devalloir, l'un de ses copains d'enfance, aujourd'hui infographiste et adjoint au maire divers droite de Saint-Martin-de-Nigelles (Eure-et-Loir). C'est tout naturellement que, à la sortie de l'adolescence, le jeune Philippe Martinez va s'inscrire au Parti communiste français, dont il finira par démissionner en 2002.

Ses passes au club de foot de Renault. «Philippe a toujours été fan de foot, témoigne Raynal Devalloir, qui tapait dans le ballon avec lui le week-end sur un terrain de Suresnes. Il jouait comme un numéro 10 à l'ancienne.» Dès son entrée dans la vie active, à Boulogne-Billancourt puis au centre technique de Rueil, Martinez s'inscrit au club de foot de Renault, dont il devient vite un pilier. Aujourd'hui, ce petit-fils d'émigrés espagnols est un fervent supporter du FC Barcelone, comme Manuel Valls, et un grand admirateur d’ Andres ...

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