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CARMAT : L'inventeur du coeur articiel bio-prothétique ne cache rien

CARMAT : L'inventeur du coeur articiel bio-prothétique ne cache rien

Quelques jours après la révélation dans les médias du décès du cinquième patient implanté de son coeur artificiel total, le cours de Bourse de Carmat regagne un peu de terrain. L'action du fabricant et concepteur du coeur a progressé mardi de 1,67% à 30,50 euros.

Le titre affiche un rebond de 3,5% en trois séances, et même de 27% par rapport au plus bas de la séance du 1er décembre, clôturée en baisse de 12,7%.

La mort du premier patient à recevoir ce cœur artificiel dans le cadre de l'étude dite "pivot" qui marque une deuxième phase de tests devant concerner vingt patients à travers l’Europe a logiquement attisé l'inquiétude des investisseurs.

"On ne cache rien", assure cependant le directeur général de Carmat, Stéphane Piat, dans un entretien accordé à l'AFP. Rencontré au siège de la société à Vélizy-Villacoublay (Yvelines), le dirigeant ne lève toutefois pas tout le voile sur les circonstances de ce décès, survenu mi-octobre, soit un mois et demi après l'implantation de la prothèse, qui n'est pas en cause selon l'entreprise.

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"On ne peut pas vous donner la raison de la mort. Les premiers qui doivent le savoir ce sont les parents de cette victime, et on a déjà expliqué les causes probables du décès selon nous à l'ANSM" (l'agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé), déclare-t-il.

Les décès, "ça fait malheureusement partie de l'innovation de rupture dans la santé", estime ce spécialiste du développement commercial de dispositifs médicaux en cardiologie âgé de 45 ans, arrivé chez Carmat le 1er septembre après avoir longtemps travaillé aux Etats-Unis.

"Quand vous faites une étude clinique, vous ne communiquez pas, par principe. Vous attendez les résultats de la fin de l'étude", sauf en cas de plusieurs décès d'affilée dus à un problème de l'implant, insiste-t-il.

Mais Carmat a été obligé de ...

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