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Carlos Ghosn suspecté d'être au cœur d'un vaste système de rétrocommissions

Le 22 avril dernier, le parquet de Nanterre émettait un mandat d'arrêt international contre Carlos Ghosn pour abus de biens sociaux et blanchiment d'argent. Il était visé par la justice française, ainsi que quatre responsables du distributeur automobile omanais Suhail Bahwan Automobiles (SBA). S'il conteste les faits, comme Capital le relayait, "pas un yen de Nissan et pas un euro de Renault n'a été détourné au profit de Carlos Ghosn", expliquait d'ailleurs un de ses avocats, Jean Tamalet. En France, Carlos Ghosn est visé par deux instructions, à Paris et à Nanterre, en région parisienne. Au cœur de l'enquête : le fondateur de SBA Suhail Bahwan, ses deux fils, et un ex-directeur général sont soupçonnés de "blanchiment en bande organisée".

Et trois d'entre eux sont mis en cause pour "abus de biens sociaux" et "corruption active" : le milliardaire Suhail Bahwan, son fils Ahmed, et Divyendu Kumar, directeur général de 2008 à 2018. Le bénéficiaire serait Carlos Ghosn. Suhail Bahwan "conteste formellement avoir pris part (...) aux infractions visées par le mandat d'arrêt", a déclaré à l'AFP son avocat Christophe Ingrain. Ses fils et l'ex-directeur général n'ont pu être joints. D'après une source proche de l'enquête, des indices graves ou concordants permettent de soupçonner que Carlos Ghosn ordonnait le versement de primes de Renault au distributeur SBA, "maquillées par un certain nombre d'écritures comptables tels que des bonus, des reprises sur stock", et dont une partie était ensuite (...)

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