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Tous les candidats déclarés (ou pas) à la présidentielle 2022

Toujours pas candidat à sa succession, Emmanuel Macron a plus d'une vingtaine de candidats déclarés face à lui. (Photo: montage Le HuffPost)
Toujours pas candidat à sa succession, Emmanuel Macron a plus d'une vingtaine de candidats déclarés face à lui. (Photo: montage Le HuffPost)

ÉLECTION - Le paysage se dégage. Du moins pour les principaux partis et candidats à l’élection présidentielle qui aura lieu le 10 avril 2022 (pour le premier tour) et le 24 avril (pour le second). La succession d’Emmanuel Macron (qui n’a toujours pas officialisé le fait qu’il brigue un second mandat) attire de très nombreux protagonistes, mais tous ceux qui sont actuellement dans la course ne seront pas sur la ligne de départ au printemps prochain.

Il y a ceux qui renonceront pour rallier des candidats mieux placés, ceux qui buteront sur les fameux 500 parrainages indispensables pour se présenter. Le record à battre est celui de 2017 avec 16 candidats.

Cette liste sera donc mise régulièrement à jour en fonction des annonces de candidatures ou des désistements des candidats.

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  • Emmanuel Macron, président de la République

Emmanuel Macron, en décembre 2021 à l'Elysée. (Photo: Sarah Meyssonnier via Reuters)
Emmanuel Macron, en décembre 2021 à l'Elysée. (Photo: Sarah Meyssonnier via Reuters)

Élu en 2017 à sa première tentative moins de trois ans après son entrée dans la vie politique, Emmanuel Macron ne s’est pas encore porté candidat; il pourrait le faire au début de l’année 2022. Cela ne l’empêche pas d’être le favori des sondages puisqu’il est donné en tête de toutes les enquêtes de premier tour à un score proche de 25%.

  • Nathalie Artaud, Lutte ouvrière (LO)

Nathalie Arthaud, ici en 2017, est une nouvelle fois la candidate de LO.  (Photo: Benoit Tessier via Reuters)
Nathalie Arthaud, ici en 2017, est une nouvelle fois la candidate de LO. (Photo: Benoit Tessier via Reuters)

“Afin d’assurer la présence du courant communiste révolutionnaire à l’élection présidentielle de 2022 et d’y faire entendre le camp des travailleurs, Lutte ouvrière décide de présenter la candidature de Nathalie Arthaud”, pouvait-on lire dans sa revue de décembre 2020. La professeure d’économie a obtenu 0,6% lors de ses deux premières candidatures en 2012 et 2017.

  • François Asselineau, Union Populaire Républicaine (UPR)

Francois Asselineau lors d'une manifestation anti-pass sanitaire en juillet 2021.  (Photo: Benoit Tessier via Reuters)
Francois Asselineau lors d'une manifestation anti-pass sanitaire en juillet 2021. (Photo: Benoit Tessier via Reuters)

Président de son parti l’UPR, il s’est déclaré candidat le 4 avril 2019 sur France 2. “Je compte bien être candidat à la prochaine présidentielle” avait-il annoncé. En 2017, il avait obtenu 0,9% des voix. Depuis, il a été mis en difficultés dans son propre parti. Il est également mis en examen pour harcèlement et agressions sexuelles.

  • Nicolas Dupont-Aignan, Debout la France (DLF)

Nicolas Dupont-Aignan avant une réunion sur le Covid à Matignon en 2020.  (Photo: POOL New via Reuters)
Nicolas Dupont-Aignan avant une réunion sur le Covid à Matignon en 2020. (Photo: POOL New via Reuters)

Le député de l’Essonne s’est déclaré candidat le 26 septembre 2020 au Cirque d’Hiver pour que les Français aient vraiment le choix”, estimant que “80 % d’entre eux ne veulent plus revoir le second tour de 2017”. À l’époque, le candidat souverainiste avait obtenu 4,7% avant de soutenir Marine Le Pen au second tour. En échange de son ralliement, elle lui avait promis le poste de Premier ministre.

  • Jean Lassalle, Résistons!

Jean Lassalle en 2017, lors d'un débat de la présidentielle. (Photo: POOL New via Reuters)
Jean Lassalle en 2017, lors d'un débat de la présidentielle. (Photo: POOL New via Reuters)

Député des Pyrénées-Atlantiques et président de son parti, Jean Lassalle s’est déclaré candidat le 16 mars 2021 sur RTL : “Je serai en finale, il va y avoir un effet de surprise”, avait-il assuré. Il lui faudrait, pour cela, faire 20 fois plus qu’en 2017 quand il avait obtenu 1,2% des voix au premier tour.

  • Marine Le Pen, Rassemblement national (RN)

Marine Le Pen après les régionales de 2021 au siège du RN (Photo: Sarah Meyssonnier via Reuters)
Marine Le Pen après les régionales de 2021 au siège du RN (Photo: Sarah Meyssonnier via Reuters)

Députée du Pas-de-Calais et conseillère régionale des Hauts-de-France, elle s’est déclarée le 9 avril 2021 lors d’un déplacement, dans le Nord. “Au-delà d’un débat (de l’entre-deux-tours en 2017, NDLR) qui avait été raté après une très belle campagne, les Français (ont) compris que le fond était essentiel et que la candidate était solide (...) C’est la raison pour laquelle je suis à nouveau candidate à la présidentielle”, a-t-elle dit ce jour-là. Depuis, elle s’est mise en retrait de la présidence du Rassemblement national qu’elle a confiée à Jordan Bardella.

  • Jean-Luc Mélenchon, La France insoumise (LFI)

Jean-Luc Melenchon en 2019 lors d'une manifestation contre la réforme des retraites.  (Photo: Benoit Tessier via Reuters)
Jean-Luc Melenchon en 2019 lors d'une manifestation contre la réforme des retraites. (Photo: Benoit Tessier via Reuters)

Président du groupe LFI à l’Assemblée nationale et député des Bouches-du-Rhône, il s’est porté candidat le 8 novembre 2020 sur TF1: “Oui je suis prêt. Je propose ma candidature. (…) J’ai un programme, une équipe prête à gouverner. 2022, c’est le moment de changer”, a-t-il lancé alors. En cette fin d’automne, il a constitué le Parlement de sa campagne. Ce sera sa troisième et dernière après 2012 (11,1%) et 2017 (19,6%).

  • Philippe Poutou, Nouveau Parti Anticapitaliste (NPA)

Philippe Poutou lors de la campagne des municipales à Bordeaux en 2020.  (Photo: Jean-Pierre BOUCHARD via Getty Images)
Philippe Poutou lors de la campagne des municipales à Bordeaux en 2020. (Photo: Jean-Pierre BOUCHARD via Getty Images)

Porte-parole du NPA, l’ancien ouvrier de l’usine Ford de Blanquefort (qui a été licencié) a été désigné le lundi 28 juin par son parti, pour qui “il incarne la nécessité de s’affronter à ce système”. Ce sera sa troisième candidature à la présidentielle: il a obtenu 1,2% en 2012 et 1,1% en 2017.

  • Antoine Waechter, Mouvement écologiste indépendant

Antoine Waechter en photo sur son site de campagne (Photo: MEI)
Antoine Waechter en photo sur son site de campagne (Photo: MEI)

Déjà candidat en 1988 (3,8% des voix), l’écologiste a décidé de se présenter hors de la primaire remportée par Yannick Jadot. L’ancien patron des Verts, actuellement conseiller municipal en Alsace veut porter les couleurs du Mouvement Ecologiste Indépendant.

  • Yannick Jadot, Europe Ecologie-Les Verts (EELV)

Yannick Jadot, en octobre 2021 pendant la campagne de la primaire écologiste. (Photo: Stephane Mahe via Reuters)
Yannick Jadot, en octobre 2021 pendant la campagne de la primaire écologiste. (Photo: Stephane Mahe via Reuters)

Député européen, Yannick Jadot a remporté la primaire écologiste (comme en 2016 lorsqu’il avait fini par rejoindre le socialiste Benoît Hamon) en battant Sandrine Rousseau au second tour. Depuis, il essaye de créer une dynamique en sa faveur et espère faire le rassemblement autour de sa candidature au début de l’année 2022.

  • Pierre Larrouturou, Nouvelle Donne

Pierre Larrouturou au Parlement européen en novembre 2021 (Photo: POOL New via Reuters)
Pierre Larrouturou au Parlement européen en novembre 2021 (Photo: POOL New via Reuters)

L’eurodéputé Pierre Larrouturou -élu sur la liste soutenu par le PS- s’est déclaré candidat à la présidentielle, mercredi 7 juillet auprès de l’AFP, à travers la “Primaire populaire” visant une candidature unique à gauche. Il souhaite porter des ” solutions concrètes et les méthodes nouvelles” pour ”éviter le chaos climatique et social”. En 2007, 2012 et 2017, il a cherché à plusieurs reprises à intégrer des primaires de gauche. En vain.

  • Arnaud Montebourg

Arnaud Montebourg, le chef d'entreprise, lors de la rentrée du Medef en 2019 (Photo: Benoit Tessier via Reuters)
Arnaud Montebourg, le chef d'entreprise, lors de la rentrée du Medef en 2019 (Photo: Benoit Tessier via Reuters)

Deux fois candidat malheureux à la primaire socialiste (en 2011 et 2016), l’ancien ministre du Redressement productif qui avait quitté la vie politique (pour fonder des entreprises) est de retour. Il croit à la “Remontada” de la France autant qu’à la sienne. Avec pour le moment, peu de succès dans les sondages.

  • Anne Hidalgo, Parti socialiste (PS)

Anne Hidalgo en octobre 2021 lors de son investiture par le PS. (Photo: Pascal Rossignol via Reuters)
Anne Hidalgo en octobre 2021 lors de son investiture par le PS. (Photo: Pascal Rossignol via Reuters)

Maire de Paris depuis 2014, réélue en 2020, Anne Hidalgo a annoncé sa candidature mi-septembre depuis Rouen. Depuis, celle qui a été investie tente de se faire une place dans la gauche du paysage politique. Sans succès pour le moment puisqu’elle plafonne à 5% des intentions de vote.

  • Valérie Pécresse, Les Républicains (LR)

Valerie Pecresse, juste après sa victoire au Congrès LR en décembre 2021. (Photo: Christian Hartmann via Reuters)
Valerie Pecresse, juste après sa victoire au Congrès LR en décembre 2021. (Photo: Christian Hartmann via Reuters)

Présidente de la région Île-de-France, l’ancienne ministre de Nicolas Sarkozy a remporté la primaire des Républicains face à Éric Ciotti et Xavier Bertrand, notamment. Valérie Pécresse est la première femme à représenter la droite à la présidentielle.

  • Florian Philippot, Les Patriotes

Florian Philippot lors d'une manifestation anti-pass sanitaire en septembre 2021.  (Photo: Gonzalo Fuentes via Reuters)
Florian Philippot lors d'une manifestation anti-pass sanitaire en septembre 2021. (Photo: Gonzalo Fuentes via Reuters)

Ancien lieutenant de Marine Le Pen, Florian Philippot a pris la tête du combat des anti-pass sanitaire. Le souverainiste, chantre du Frexit, espère surfer sur la défiance du pouvoir pour aller jusqu’à une candidature en avril.

  • Fabien Roussel, Parti communiste français (PCF)

Fabien Roussel lors d'une réunion à Matignon en décembre 2018.  (Photo: Stephane Mahe via Reuters)
Fabien Roussel lors d'une réunion à Matignon en décembre 2018. (Photo: Stephane Mahe via Reuters)

Député du Nord et secrétaire national du PCF, Fabien Roussel s’est porté candidat le 13 mars 2021 et a été investi le 9 mai. C’est la première fois depuis 2007 que les communistes partent en leur nom à la présidentielle. En 2012 et 2017, ils avaient soutenu Jean-Luc Mélenchon.

  • Hélène Thouy, Parti animaliste

Hélène Thouy en juillet 2021 lors de l'annonce sa candidature. (Photo: CHRISTOPHE ARCHAMBAULT via Getty Images)
Hélène Thouy en juillet 2021 lors de l'annonce sa candidature. (Photo: CHRISTOPHE ARCHAMBAULT via Getty Images)

Avocate au Barreau de Bordeaux, Hélène Thouy a déclaré sa candidature le 1er juillet. “Je suis candidate à l’élection présidentielle de 2022. C’est une immense fierté de pouvoir défendre les intérêts des animaux. Ma candidature, clairement ciblée sur la cause animale, a pour but d’imposer cette question dans le débat national”, déclarait alors celle qui veut porter les couleurs du Parti animaliste pour la première fois à la présidentielle. Son parti a obtenu 2,2% aux Européennes de 2019.

  • Éric Zemmour, Reconquête!

Eric Zemmour lors de son premier meeting de candidat en décembre 2021.  (Photo: Christian Hartmann via Reuters)
Eric Zemmour lors de son premier meeting de candidat en décembre 2021. (Photo: Christian Hartmann via Reuters)

L’ancien journaliste a annoncé candidature le 30 novembre. Son premier meeting le 5 décembre à Villepinte a livré le pire du visage de l’extrême droite. À cette occasion, Éric Zemmour a obtenu le ralliement d’anciens candidats comme Jean-Frédéric Poisson ou Jacline Mouraud.

Le gilet jaune Eric Drouet s’est déclaré candidat en octobre 2020. “Hors de tout parti”, il se voit plus comme porte-parole d’un mouvement des Gilets jaunes qui a pour but “de ramener des idées”.

Cheminot aiguilleur et militant syndical Sud-rail, Anasse Kazib s’est fait connaître lors des grèves de 2019. Il a tenté en vain d’obtenir l’investiture du NPA.

Conseiller de Jean-Luc Mélenchon pendant la campagne de 2017, Georges Kuzmanovic est un ancien membre de la France Insoumise. Il veut représenter le parti “République souveraine” à la présidentielle.

L’ancien policier Alexandre Langlois a été révoqué pour ses positions contre la hiérarchie policière. Le secrétaire général du syndicat Vigi (ex-CGT police) veut lancer un rassemblement citoyen “ni de droite ni de gauche”, en s’appuyant sur les abstentionnistes, les gilets jaunes.

Ex-général de l’armée de l’Air, Antoine Martinez qui préside “Volontaires pour la France” est l’un des signataires au printemps d’une tribune controversée de militaires dans Valeurs Actuelles.

À voir également sur Le HuffPost: Pour 2022, ces élus ne parraineront aucun candidat tant que la gauche reste divisée

Cet article a été initialement publié sur Le HuffPost et a été actualisé.

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