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Camaïeu : qui est NOZ, l'entreprise qui a raflé les enchères du stock de vêtements ?

Wikimedia Commons

La vente était très attendue et scelle aussi la fin quasi-définitive de l'aventure Camaïeu. Ils n'étaient pourtant pas beaucoup d'acheteurs potentiels, selon Le Parisien, à s'être déplacés du fait des conditions plutôt restrictives, comme la caution demandée de 50.000 euros. Mais cela n'a pas empêché la vente d'atteindre des sommets, à tel point que le commissaire-priseur, Me Patrick Deguines, a parlé de "pari réussi". "C'est trois fois plus que ce qui était espéré", déclare-t-il à La Voix du Nord. Car au total, ce sont près de deux millions de t-shirts, manteaux ou autres pantalons qui ont été adjugés pour 3,8 millions d'euros.

L'acheteur ? Le géant du déstockage Noz, qui a raflé 18 des 20 lots mis en jeu dont la très convoitée collection hiver 2022-2023, qui n'a pas encore été présentée. Lors de cette vente qui a duré deux heures tout au plus, si cinq acheteurs se sont vite démarqués, deux se sont disputés les lots finalement. Au fond de la salle, Sébastien Jaffrès et Sonia Rigaud représentaient la marque basée en Mayenne et étaient en contact direct avec le PDG du groupe. "3,8 millions d'euros, ce sont de gros achats c'est vrai, mais j'ai respecté mon enveloppe", se félicite Sébastien Jaffrès auprès du Parisien.

Noz ne s'attendait pas cependant à ce que les enchères montent autant, mais les affaires restent bonnes car pour ce prix, les vêtements se seraient revendus en magasin pour 40 millions d'euros, estime le commissaire-priseur. Une bonne affaire donc. Du côté des vaincus, (...)

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