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Le calvaire des parents d’enfants porteurs de handicap

JÉRÉMIE LUSSEAU/HANS LUCAS

Demain, ils ne prendront pas le chemin de l’école. Plusieurs milliers d’enfants porteurs de handicap se verront dans l’obligation de rester chez eux, faute d’avoir trouvé une solution de scolarisation adaptée à leurs besoins spécifiques. Tandis que d’autres n’y seront admis qu’à temps partiel ou selon des modalités inadaptées à leur pathologie.

Une situation dénoncée par l’Unapei, un réseau de 350 associations de parents d’enfants porteurs de handicap mental, dans un communiqué rendu public mardi 29 août. « Leurs droits à l’éducation sont bafoués », dénonce son président Luc Gateau en s’appuyant sur les résultats d’une enquête qu’il a diligentée auprès d’un échantillon de 2 103 enfants accompagnés par les antennes locales de l’Unapei. D’après cette étude, 23 % d’entre eux n’ont aucune heure de scolarisation par semaine, 28 % ont entre zéro et six heures, 22 % entre six et douze heures tandis que 27 % disposent de plus de douze heures d’enseignement hebdomadaire.

Il existe à l’heure actuelle deux parcours de scolarisation pour ces enfants. Ces derniers peuvent être accueillis dans un établissement scolaire ordinaire en présence d’un accompagnant (AESH) et pour un nombre d’heures déterminées en fonction de leurs besoins par la MDPH (maison départementale des personnes handicapées), ou alors dans un établissement médico-social qui leur offre une prise en charge scolaire adaptée. « Si le sujet a été mieux pris en compte par le gouvernement au cours de ces dernières années a...


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