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La caissière escroquait son employeur en faisant des promotions à ses proches

Luis Alvarez/Getty Images

Des chariots facturés 80 euros avec plus de 2 000 euros de marchandises, d’autres encore moins élevés… Très rapidement, les activités de la caissière ont éveillé les soupçons des vigiles, raconte Ouest-France. La scène se déroule dans le Leclerc Atlantis de Saint-Herblain en Loire-Atlantique. Les vigiles remarquent des clients avec des chariots remplis de poêles, de robots de cuisine, de faitouts ou encore de bouteilles d’alcool. Étonnés par le nombre de produits, ils vont alors les scruter jusqu’à la caisse.

La caissière va bien faire passer les produits devant sa machine, mais le ticket de caisse semble dérisoire au regard de la marchandise accumulée : «Le premier chariot contenait 2 036 euros de marchandises, mais n’a été réglé qu’à hauteur de 82 euros. Le deuxième chariot contenait, lui, 630 euros et n’a coûté que 24 euros», ont appris nos confrères. Si la caissière fait bien passer les articles sur son tapis, elle ne scanne pas les codes-barres.

Les vigiles vont alors intervenir, mais la caissière prend la fuite. Les deux clients sont, eux, interpellés. Le lendemain, la caissière est finalement arrêtée. Il s’agit de la fille d’un des deux clients arrêtés la veille. Les perquisitions ont permis de découvrir des produits encore emballés chez les protagonistes. Selon la direction du magasin, qui s’est portée partie civile, plus de 27 000 euros de marchandises ont été volés. D’après Ouest-France, la carte de fidélité de la mère de la caissière a fait «mention d’une dizaine de (...)

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