Publicité
La bourse est fermée
  • CAC 40

    8 022,41
    -0,85 (-0,01 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    4 918,09
    -18,48 (-0,37 %)
     
  • Dow Jones

    37 986,40
    +211,02 (+0,56 %)
     
  • EUR/USD

    1,0661
    +0,0015 (+0,14 %)
     
  • Gold future

    2 406,70
    +8,70 (+0,36 %)
     
  • Bitcoin EUR

    59 759,01
    +218,67 (+0,37 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 366,99
    +54,36 (+4,14 %)
     
  • Pétrole WTI

    83,24
    +0,51 (+0,62 %)
     
  • DAX

    17 737,36
    -100,04 (-0,56 %)
     
  • FTSE 100

    7 895,85
    +18,80 (+0,24 %)
     
  • Nasdaq

    15 282,01
    -319,49 (-2,05 %)
     
  • S&P 500

    4 967,23
    -43,89 (-0,88 %)
     
  • Nikkei 225

    37 068,35
    -1 011,35 (-2,66 %)
     
  • HANG SENG

    16 224,14
    -161,73 (-0,99 %)
     
  • GBP/USD

    1,2370
    -0,0068 (-0,55 %)
     

Le CAC 40 clôture en forte hausse

La Bourse de Paris clôture la semaine en beauté. L'indice vedette CAC 40 a pris ce vendredi 24 juin 190,02 points à 6.073,35 points, sa meilleure progression depuis le 16 mars. Sur la semaine, il progresse de 3,24%, la première hausse hebdomadaire du mois de juin. Mais depuis le 1er janvier, l'indice recule encore de 15,09%. Déjà en forte hausse depuis le début de la séance, la cote parisienne a accéléré "après la publication des anticipations de l'inflation à moyen-long terme de l'Université du Michigan, qui sont ressorties inférieures aux attentes", explique à l'AFP Alexandre Neuvy, directeur de la gestion privée chez Amplegest.

Les investisseurs ont les yeux rivés sur l'inflation depuis plusieurs mois, tout comme les banques centrales qui durcissent drastiquement leur politique monétaire afin d'endiguer la hausse des prix. Une baisse des anticipations d'inflation, si elle se confirmait avec d'autres indicateurs, allègerait la pression sur les banques centrales.

La séance a conclu une semaine où "la baisse des taux d'intérêt" sur le marché obligataire "a un peu calmé" les investisseurs, avec une chute "impressionnante" des taux mercredi et jeudi, remarque M. Neuvy. Les taux d'intérêt ont reflué avec les craintes de récession aux Etats-Unis et en zone euro, notamment avec des indicateurs de l'activité économique PMI publiés jeudi qui ont montré un ralentissement brutal en juin.

Les valeurs technologiques ont profité de la détente des taux obligataires pour combler un peu les pertes (...)

PUBLICITÉ

(...) Cliquez ici pour voir la suite

Omar Sy, Lena Situations... comment la marque française Fusalp a renoué avec le succès
Deliveroo de nouveau condamné en France pour travail dissimulé
Paris : les taxis vont se faire de plus en plus rares
SNCF : les cheminots appelés à la grève nationale le 6 juillet
Mondial 2022 : Vinci a été perquisitionné en 2020 après des accusations de travail forcé