CAC 40 : la Bourse à l'arrêt, les négociations sur la dette des Etats-Unis inquiètent

Wikimedia

Le CAC 40 reste attentiste, la "pause" dans les négociations aux Etats-Unis sur la dette faisant planer un léger doute. Le CAC 40 avait cédé une partie de ses gains dans la dernière demi-heure vendredi, avec le regain de tensions entre négociateurs démocrates et républicains. Les indices américains qui avaient commencé dans le vert ont perdu 0,33% pour le Dow Jones, 0,24% pour le Nasdaq et 0,15% pour le S&P 500. Le CAC 40 est attendu stable lundi à l'ouverture, le feuilleton autour des négociations pour le relèvement du plafond de la dette américaine occupant toujours les investisseurs. Vendredi, le CAC 40 avait pris 0,61%, pour finir la semaine en hausse de 1,04%, à 7.491,96 points.

Le chef des républicains à la Chambre des représentants Kevin McCarthy a douché l'optimisme affirmant vendredi qu'elles devaient être mises "en pause". "À l'aube d'une nouvelle semaine importante, nous avons le sentiment que nous allons probablement assister à de nouveaux rebondissements dans cette triste saga, sans qu'aucune des deux parties ne s'en sorte particulièrement bien", résume Michael Hewson, de CMC Markets.

>> Achetez et vendez vos placements (Bourse, cryptomonnaies…) au bon moment grâce à Momentum, la lettre d’investissement et newsletter premium de Capital basée sur l’analyse technique, économique et financière. Et en ce moment, avec le code promo CAPITAL30J, profitez d’un mois d'essai gratuit.

Le président Joe Biden et le chef républicain Kevin McCarthy se rencontreront lundi en personne (...)

(...) Cliquez ici pour voir la suite

Plafond de la dette des Etats-Unis : “l’euro va-t-il plonger face au dollar ?”
Naumy : Paris, Marseille, Bruxelles... où vont ouvrir les prochains magasins de ce concurrent de Primark ?
Pétrole : l’Opep et la Russie vont-ils enrayer la chute ? Le conseil Bourse
Données personnelles : Meta condamnée à payer une amende record de 1,2 milliard d'euros
Carrefour : un maire se prend en photo devant 500 chariots ramassés dans la ville pour alerter l'enseigne