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Côte d’Ivoire. Ouattara et Gbagbo : petite accolade, grand espoir

Mardi 27 juillet, le chef d’État ivoirien et son prédécesseur se sont retrouvés tout sourire au palais présidentiel d’Abidjan. Cette réconciliation des deux anciens ennemis est un signe encourageant pour la Côte d’Ivoire, estime cet éditorialiste du site d’information burkinabé Wakat Séra.

Un peu plus d’une heure d’entretien pour des retrouvailles très attendues par les Ivoiriens. C’était ce mardi 27 juillet, au palais présidentiel d’Abidjan, où, après dix ans, Alassane Ouattara et Laurent Gbagbo se sont retrouvés dans une rencontre “cordiale, amicale et fraternelle”, pour emprunter les mots des deux hommes.

La dernière fois qu’ils s’étaient vus, c’était le 20 novembre 2010, à l’occasion du débat télévisé qui a précédé la présidentielle qui les a opposés un mois plus tard. Puis tout s’était emballé. Les vieux démons de la violence qui n’avaient jamais cessé de rôder autour de la Côte d’Ivoire depuis la guerre civile de 2002 se sont emparés d’un pays qui essayait toujours de panser ses plaies sociales. Comptabilité macabre de la crise postélectorale, 3 000 morts [selon les Nations unies] et beaucoup de dégâts matériels.

Arrêté en avril 2011, Laurent Gbagbo, accusé de crimes contre l’humanité s’est retrouvé [quelques mois plus tard] devant les juges de la Cour pénale internationale. Au terme d’une longue procédure judiciaire, cette CPI a prononcé l’acquittement de [l’ancien président] en 2019, une décision en mars 2021.

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