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Le business lucratif des médicaments antirhume pour les officines

Gorodenkoff/Adobe Stock

L’Agence nationale du médicament (ANSM) part en guerre contre les médicaments antirhume. Le gendarme du médicament, soutenu par une grande partie du corps médical, a lancé un cri d’alerte dimanche, recommandant aux Français de ne plus consommer ces vasoconstricteurs produits à base de pseudoéphédrine. «Je veux dire aux Français : ne les utilisez plus !», a préconisé la présidente de l’ANSM, Christelle Ratignier-Carbonneil dans le Parisien.

Le Collège de la médecine générale, le Conseil national professionnel d’ORL, l’Ordre national des pharmaciens, l’Union de syndicats de pharmaciens d’officine et la Fédération des syndicats pharmaceutiques de France s’associent à cette recommandation.

Humex, Actifed, Dolirhume, Nurofen rhume, Rhinadvil… La liste de ces médicaments déconseillés est détaillée par l’ANSM qui les soupçonne d’augmenter le risque d’infarctus du myocarde et d’accidents vasculaires cérébraux (AVC). Comme le dit l’Agence, le risque est faible, mais les effets sont suffisamment graves pour déconseiller leur prescription. De 2012 à 2018, la base nationale de pharmacologie fait état de 307 cas graves, rapporte Le Parisien.

Ces médicaments étaient déjà dans le viseur des autorités depuis plusieurs années. La publicité de ces médicaments a été interdite en 2017 et les sprays doivent être délivrés uniquement sur prescription. Les comprimés restent toutefois disponibles à la vente sans ordonnance en officine. En une dizaine d’années, sous l’effet de l’interdiction des publicités (...)

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