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Budget : seizième 49-3 enclenché par Élisabeth Borne sur le volet dépenses

LOÏS LARGES

Et de seize ! Une nouvelle fois, la Première ministre, Élisabeth Borne, a utilisé mardi soir arde l'arme constitutionnelle du 49-3 pour faire passer sans vote à l'Assemblée nationale le volet «dépenses» et l'ensemble du projet de loi de finances pour 2024 en première lecture. Accueilli peu avant minuit par un mélange de huées et d'applaudissements dans l'hémicycle, le seizième recours par la Première ministre à cet outil décrié lui a valu le dépôt instantané en retour d'une nouvelle motion de censure des Insoumis. Son probable rejet dans la semaine vaudra cette fois adoption en première lecture de l'ensemble du projet de budget 2024, avant sa transmission au Sénat, où il est attendu à partir du 23 novembre dans l'hémicycle. «Nous ne pouvons pas priver la France de budget» et «nous le pouvons d'autant moins que nous savons bien qu'il n'existe aucune majorité alternative capable de s'entendre autour d'un budget», a justifié Elisabeth Borne lors de sa courte déclaration devant les députés.

Dans un enchaînement désormais bien rôdé, la riposte de LFI n'a pris que quelques minutes. «D'un revers de main, le gouvernement bafoue une nouvelle fois la démocratie», a réagi sur X la cheffe de file des députés Insoumis, Mathilde Panot. Le texte de leur motion de censure, consulté par l'AFP, dénonce la «cure austéritaire» du budget «alors que nos services publics sont étranglés par l'inflation et au bord de la rupture», ainsi que «la pente autoritaire dévalée par le gouvernement» avec ses 49-3. (...)

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