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Brigitte Henriques au CNOSF : ballon percé

Après des mois de tensions et de coups bas, Brigitte Henriques a démissionné de son poste de présidente du CNOSF, jeudi. Elle était la première femme élue à la tête de la grande maison du sport olympique français. La première figure issue du foot, aussi.

« Je voudrais saluer cette femme qui est la première présidente dans l’histoire du CNOSF, une femme de conviction, de détermination, une ancienne grande sportive qui a donné beaucoup de son temps, de générosité au sport français. Elle fait son choix qui est certainement extraordinairement douloureux pour elle. Et je veux maintenant que ça puisse laisser place au rebond le plus rapide et le plus efficace possible du mouvement sportif français. » Les propos de la ministre des Sports, Amélie Oudéa-Castéra, en passe de devenir la plus politique du gouvernement, entendent clôturer des mois de mélodrames au sein du sport français. La situation était de fait devenue intenable pour Brigitte Henriques. « C’est sa décision. J’imagine qu’elle a dû ressentir que la situation était devenue trop difficile à vivre pour elle, elle a probablement senti son propre camp se fissurer. Et je pense que c’est tout à son honneur d’avoir voulu prendre cette décision », conclut, dans un soupir de soulagement, l’ancienne camarade d’Emmanuel Macron à l’ENA.