Bourse : les trois erreurs à ne pas commettre en 2021
Plein soleil ou passages nuageux ! Après la chute historique des places boursières à la fin de l’hiver 2020, les indices financiers tutoient à nouveau les sommets. En quelques mois, l’Euro Stoxx 50, indice phare en zone euro, a bondi de 40%. A Paris, le CAC 40 s’est lui apprécié de 50% depuis le creux de mars. Outre-atlantique, le rebond est encore plus incroyable, avec une progression de 66% du S&P 500. Ce rebond généralisé s’est accentué en octobre et novembre dernier à mesure que se confirmait la sortie imminente d’un vaccin contre le coronavirus.
Les investisseurs ont sû profiter de cette euphorie. « Soi-disant mauvais investisseurs, les particuliers ont compris que cette crise était porteuse d’opportunités. L’adage « il faut acheter au son du canon et vendre au son du clairon » a été respecté en 2020 », se réjouit Charles-Henri d’Auvigny, président de la Fédération des investisseurs individuels et des clubs d’investissement (F2IC). Par rapport à 2019, les investisseurs individuels ont passé, en 2020, 2,5 fois plus d’ordres sur Euronext, la principale place boursière en Europe qui fédère notamment les bourses de Paris, d’Amsterdam ou encore de Bruxelles. En avril, une étude de l’Autorité des marchés financiers (AMF) avançait que plus de 150 000 investisseurs avaient débuté, ou étaient revenus en bourse, au début du confinement du printemps.
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