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Bourse : les secteurs qui vont profiter de l’euro faible

Christopher Dembik : Tous les secteurs d’activité importateurs de produits de grande consommation vont être pénalisés par l’euro faible, même s’ils peuvent répercuter en partie la hausse des coûts sur les consommateurs. Les produits alimentaires sont notamment concernés. Le coût des intrants s’affichent déjà en forte hausse pour une entreprise comme Danone, l’ajout d’un effet de taux négatif ne va rien arranger. La grande distribution sera aussi très touchée.

D’une manière générale, toutes les entreprises françaises, y compris les plus grandes, ont une très mauvaise couverture face au risque de change, parce qu’elles étaient peu concernées ces dernières années, les fluctuations restant peu importantes. Les directeurs financiers vont devoir se pencher sur le sujet, à travers des contrats à terme sur les devises notamment.

Christopher Dembik : Le principal gagnant va être Airbus et les sociétés qui exportent en grande partie leur production. Mais beaucoup ont malgré tout des intrants importants et toutes vont être affectées au moins par la hausse de la facture énergétique, en raison des difficultés d’approvisionnement en gaz. Il faudra donc étudier au cas par cas chaque entreprise, au-delà des secteurs, pour établir lesquelles seront véritablement gagnantes.

D’autant que le risque est que l’euro descende encore plus bas au cours des prochains mois. Le modèle énergétique de l’Europe, dépendant de la Russie, montre qu’il existe un problème structurel qui va peser sur l’euro. Nous risquons (...)

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