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Bourse : le jour où la reine Elizabeth II a été victime d’un trader fou

Samir Hussein/WireImage/Getty Images

Elizabeth II tire sa révérence. Après plus de 70 ans de règne, la reine d'Angleterre “s’est éteinte et quitte par la grande porte la scène mondiale”, après l’avoir marquée et “apporté au Royaume-Uni un socle fort pour assurer son unité”, relève le géant de la gestion d’actifs La Banque Postale Asset Management (LBPAM). Selon lui, son départ est “peut-être un autre symbole des changements qui s’opèrent dans le monde d’aujourd’hui”, marqué par de fortes tensions et des défis colossaux.

Elle laisse derrière elle une fortune colossale, en dépit de quelques déboires au cours des dernières décennies, entre les crises et la faillite monumentale en 1995 de la Barings, la plus ancienne banque britannique, qui avait notamment financé l’achat de la Louisiane à la France en 1803 et comptait la souveraine parmi ses clientes. A l’époque, Nick Leeson, un jeune trader responsable chez Barings de la branche basée à Singapour, avait pris des positions risquées sur les marchés asiatiques, trop importantes au vu de la taille de l’établissement et qui lui étaient interdites.

Nick Leeson a dissimulé ses erreurs et des pertes stratosphériques, aggravées par l’impact du tremblement de terre de Kobe sur la Bourse de Tokyo, en profitant de carences dans la communication entre les bureaux de Londres, Singapour et Tokyo et les différents cadres de la banque d’affaires, et de ses procédures de contrôle défaillantes.

Alors que Nick Leeson s’était vu décerner le titre de “meilleur trader de l’année” par le Simex (...)

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