Publicité
La bourse est fermée
  • Dow Jones

    38 438,37
    -65,32 (-0,17 %)
     
  • Nasdaq

    15 694,96
    -1,68 (-0,01 %)
     
  • Nikkei 225

    38 460,08
    +907,92 (+2,42 %)
     
  • EUR/USD

    1,0704
    0,0000 (-0,00 %)
     
  • HANG SENG

    17 201,27
    +372,34 (+2,21 %)
     
  • Bitcoin EUR

    59 982,39
    -2 363,67 (-3,79 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 385,11
    -38,99 (-2,74 %)
     
  • S&P 500

    5 067,05
    -3,50 (-0,07 %)
     

Bond des bénéfices de BofA au T2 mais l'activité de crédit déçoit

BOND DES BÉNÉFICES DE BOFA AU T2 MAIS L'ACTIVITÉ DE CRÉDIT DÉÇOIT

(Reuters) - Les bénéfices de Bank of America ont presque triplé au deuxième trimestre, à la faveur notamment de reprises de provisions constituées l'année dernière, mais ses activités de crédit restent pénalisés par la faiblesse des taux d'intérêt.

La deuxième banque américaine par les actifs a réalisé sur la période avril-juin un bénéfice net attribuable aux actionnaires de 8,96 milliards de dollars (7,59 milliards d'euros), soit 1,03 dollar par action, un chiffre en nette hausse par rapport au résultat de 3,28 milliards de dollars enregistré un an plus tôt.

Selon l'estimation IBES de Refinitiv, les analystes tablaient en moyenne sur un bénéfice de 77 cents par action.

BofA a réduit de 2,2 milliards de dollars ses provisions au cours du trimestre.

PUBLICITÉ

Parallèlement, le revenu net d'intérêt, généré par les activités de crédit, a reculé de 6% au cours du trimestre, à 10,2 milliards de dollars, une baisse sanctionnée par un recul de 2% de l'action Bank of America dans les échanges en avant-Bourse à Wall Street.

"La consommation des ménages a nettement dépassé les niveaux d'avant la pandémie, la croissance des dépôts est forte et les niveaux de prêts ont commencé à augmenter", a déclaré le directeur général de la banque, Brian Moynihan.

La tendance positive observée sur le marché de l'emploi et la rapidité de la campagne vaccinale ont stimulé la reprise économique mais les grandes banques américaines restent pénalisées par la faiblesse des taux, qui réduit leurs marges.

(Reportage Niket Nishant à Bangalore et Elizabeth Dilts Marshall à New York, version française Lucinda Langlands-Perry, édité par Marc Angrand)