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Biodiversité. Les tigres de l’Amour, symbole de la nouvelle politique environnementale chinoise

En danger d’extinction, la population de ce grand félin est passée de 7 à 55 spécimens durant les vingt dernières années en Chine. L’illustration de la politique environnementale fondée sur la préservation de la biodiversité, analyse le Wall Street Journal, à contre-courant du manque de volonté gouvernementale en matière d’émission de gaz à effet de serre.

Après des décennies “d’expansion économique, de braconnage et d’empiètement humain” sur les territoires sauvages, les tigres de l’Amour, aussi connus sous le nom de “tigres de Sibérie”, étaient “fonctionnellement éteints” en Chine au début du siècle, rappelle le Wall Street Journal. Passés de 500 spécimens répertoriés il y a cent ans à seulement 7 à l’orée des années 2000, les grands félins connaissent une renaissance, toute relative mais inespérée, depuis vingt ans.

“Anéantis au Vietnam, au Laos, au Cambodge et dans le sud de la Chine”, ils seraient désormais au nombre de 55 dans le nord-est du pays, dernière région chinoise où ces félins errent encore. Une “reprise spectaculaire”, veulent croire les scientifiques chinois du World Wildlife Fund et de la Wildlife Conservation Society qui ont publié récemment une étude sur le sujet.

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Le mérite de cette “rare réussite dans l’univers de la conservation” revient à la prise de conscience des Chinois sur les questions de biodiversité, avance le quotidien américain, ainsi qu’aux efforts des autorités gouvernementales, notamment pour lutter contre le braconnage. À deux semaines de l’ouverture de la COP26 à Glasgow (Écosse), la Chine compte bien mettre en scène son volontarisme politique sur les questions environnementales.

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