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Biodiversité. Québec : dans l’estuaire du Saint-Laurent, l’oxygène baisse de façon inquiétante

Des scientifiques ont constaté cette année une baisse sans précédent des niveaux d’oxygène dans le grand estuaire nord-américain. Un phénomène qui résulte des bouleversements climatiques et qui pourrait menacer directement la vie marine dans l’estuaire, déplore la presse québécoise.

La vie marine de l’estuaire du Saint-Laurent, l’un des plus grands et plus profonds du monde, est-elle en péril ? Les données recueillies sur les concentrations en oxygène dans ses eaux profondes y sont inquiétantes.

Trois expéditions océanographiques qui ont effectué des relevés dans l’estuaire à des profondeurs de 250 mètres et plus entre août et octobre font état de la concentration d’oxygène la plus faible jamais détectée, relève Le Devoir : “Moins de 10 % de ce que l’on retrouve dans les eaux de surface.” Cette concentration était d’environ 20 % pour la période allant de 2003 à 2019, “un seuil qui représente déjà une hypoxie sévère”.

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Les scientifiques avaient déjà sonné l’alarme pour le golfe et l’estuaire du Saint-Laurent en mai dernier. La biologiste canadienne Marjolaine Blais annonçait alors que des records de faible concentration d’oxygène avaient été enregistrés à 300 mètres de profondeur en 2019 et 2020. La spécialiste de l’Institut Maurice-Lamontagne déclarait à La Presse que “depuis 1970 les concentrations d’oxygène ont diminué de 50 %”, alors que la température de l’eau a augmenté de 1,6 °C dans l’écosystème. “Or, remarque le journal, les eaux qui se réchauffent contiennent moins d’

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