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La belle-mère de Thierry Solère aurait été mise en examen pour des soupçons d'emploi fictif à l'Assemblée

Déjà mis en examen pour une dizaine d'infractions – notamment pour fraude fiscale, détournement de fonds publics et trafic d'influence passif –, le député LREM des Hauts-de-Seine et conseiller d'Emmanuel Macron, Thierry Solère, a vu son dossier encore s'alourdir. Selon des informations de Mediapart, ce mardi 3 janvier, l'enquête judiciaire à son encontre, menée par le juge d'instruction du tribunal de Nanterre, Serge Tournaire, viendrait, en effet, de se développer avec deux nouvelles mises en examen.

La première, serait intervenue le 30 mars dernier pour des faits présumés de "recel de détournement de fonds publics" et viserait Françoise G., la belle-mère de Thierry Solère. Elle serait soupçonnée d'avoir occupé un emploi fictif à l'Assemblée nationale pendant quatorze mois, entre 2015 et 2016. Des soupçons que le conseiller d'Emmanuel Macron a contestés. "Elle fournissait un travail absolument remarquable en circonscription", a-t-il justifié. En précisant, que Françoise G. travaillait "depuis chez elle", sans adresse mail de l'Assemblée, mais lui remettait des "rapports hebdomadaires d'activité".

La seconde mise en examen, qui aurait été prononcée le 1er avril dernier, viserait, elle, le cabinet de conseil Deloitte pour des faits présumés de "trafic d'influence actif". Deloitte aurait embauché l'homme politique – entre 2011 et 2012, en lui versant 20.000 euros d'honoraires – pour qu'il use de son influence, "réelle ou supposée", auprès d'autorités publiques. Selon Mediapart, (...)

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