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“La BCE alimente une spéculation folle qui détruit notre économie réelle”

Le narratif tenait de plus en plus de la doxa voire du dogme : après un effondrement soudain mais exogène de nos économies, consécutif au choc du Covid, le nécessaire redressement alimenté par la morphine monétaire devait nous garantir des années de belle croissance. Force est de constater aujourd’hui que les signes de craquellement de cette construction intellectuelle factice se multiplient. En premier lieu parce que la loi d’airain des cycles économiques n’a jamais disparu. Ce sont les apprentis sorciers des banques centrales et des gouvernants trop prompts à occulter leurs impérities qui ont prétendu la masquer. Or, au dernier trimestre 2019, la France, par exemple, avait une croissance nulle, et même une croissance négative début 2020 : la récession cyclique aurait dû la frapper au printemps 2020 ; la divine surprise du Covid a permis de la travestir en contraction exogène, puis de promettre des années de croissance facile. Deuxièmement, c’est la morphine elle-même (la politique monétaire puis budgétaire) qui a sécrété un mal pire que le premier couvert par la morphine : une inflation hors de contrôle qui anesthésie l’impact réel de la croissance post-Covid et promet progressivement de nous faire retomber en ralentissement généralisé (du fait de la hausse des prix elle-même, mais aussi de sa conséquence, la nécessaire remontée des taux pour normaliser la grogne sociale…).

s Etats-Unis ont ouvert le bal des mauvaises nouvelles, avec une croissance trimestrielle en recul de 0,4% (...)

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