Publicité
La bourse ferme dans 1 h 59 min
  • CAC 40

    8 015,47
    -7,79 (-0,10 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    4 920,83
    -15,74 (-0,32 %)
     
  • Dow Jones

    37 829,29
    +53,91 (+0,14 %)
     
  • EUR/USD

    1,0672
    +0,0026 (+0,25 %)
     
  • Gold future

    2 393,70
    -4,30 (-0,18 %)
     
  • Bitcoin EUR

    60 590,37
    +2 117,59 (+3,62 %)
     
  • CMC Crypto 200

    1 331,76
    +19,14 (+1,46 %)
     
  • Pétrole WTI

    82,50
    -0,23 (-0,28 %)
     
  • DAX

    17 728,04
    -109,36 (-0,61 %)
     
  • FTSE 100

    7 835,59
    -41,46 (-0,53 %)
     
  • Nasdaq

    15 522,28
    -79,22 (-0,51 %)
     
  • S&P 500

    5 001,54
    -9,58 (-0,19 %)
     
  • Nikkei 225

    37 068,35
    -1 011,35 (-2,66 %)
     
  • HANG SENG

    16 224,14
    -161,73 (-0,99 %)
     
  • GBP/USD

    1,2462
    +0,0024 (+0,19 %)
     

Bachelet (Onu) espère se rendre dans le Xinjiang cette année

BACHELET (ONU) ESPÈRE SE RENDRE DANS LE XINJIANG CETTE ANNÉE

par Stephanie Nebehay

GENEVE (Reuters) - La haute commissaire des Nations unies aux droits de l'homme, Michelle Bachelet, a déclaré lundi qu'elle espérait parvenir à un accord pour se rendre cette année en Chine, notamment dans la région du Xinjiang, afin d'enquêter sur des violations présumées des droits des minorités musulmanes, comme celle des Ouïghours.

C'est la première fois que Michelle Bachelet suggère publiquement un calendrier pour se rendre en Chine, alors que ses services négocient depuis septembre 2018 les conditions d'une telle visite.

La mission diplomatique de la Chine à Genève, contactée par Reuters pour une demande de commentaire, a déclaré que le Xinjiang était une "partie inaliénable du territoire chinois" et que Pékin ne tolérait "aucune interférence par des puissances externes".

PUBLICITÉ

Dans un communiqué publié par la suite, le porte-parole de la mission chinoise a déclaré que la Chine acceptait le principe d'une visite de Michelle Bachelet, y compris dans le Xinjiang, à condition qu'il s'agisse d'une visite "amicale" destinée à promouvoir la coopération "plutôt que de procéder à une soi-disant 'enquête' avec une présomption de culpabilité".

Les puissances occidentales font pression sur la représentante onusienne pour qu'elle obtienne un accès sans restriction à la région du Xinjiang, où des activistes dénoncent la détention de plus d'un million de Ouïghours dont certains soumis à des abus et du travail forcé. La Chine nie ces accusations.

(version française Jean Terzian)