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BA.4, BA.5… Les nouveaux sous-variants d’Omicron pourraient-ils faire des ravages en Europe ?

Ils sont déjà arrivés sur le territoire mais ne sèment pas la panique. Selon Santé publique France, 7 cas d’infection à BA.4 et 15 contaminations par BA.5 ont été recensés dans l’Hexagone. Deux nouveaux sous-lignages du variant Omicron qui ont été découverts en Afrique du Sud, actuellement en proie à une cinquième vague épidémique. Alors que les Français pourront laisser tomber leur masque dans les transports en commun dès lundi 16 mai, les experts ne semblent pas si inquiets par la progression de ces nouvelles souches dans la population.

D’abord, BA.2, le sous-variant à l’origine du dernier rebond épidémique, reste largement majoritaire en France. Le dernier bilan épidémiologique de Santé publique France, publié jeudi 12 mai, précise que 98,6 % des tests séquencés la semaine du 25 avril étaient positifs à cette souche. “Quand un variant circule largement, la diversification génétique est un phénomène attendu, rassure Justine Schaeffer, chargée de projets d’expertise des variants à Santé publique France. Il est donc logique de définir de nouveaux sous-lignages. Ce qui nous intéresse, c’est plutôt leurs caractéristiques susceptibles de modifier le profil de la pandémie”.

Or “BA.4 et BA.5 sont très semblables aux autres souches d’Omicron”, a rappelé le virologue Bruno Lina dans une interview à Capital. Directeur du Centre national de référence (CNR) de Lyon, où l’on séquence les tests PCR, il table sur une saisonnalité du virus qui pourrait se confirmer cet automne-hiver. “Pas de (...)

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