Les bêtes ont leur niche à l'Assemblée
Alexandre Vincendet, député LR du Rhône, devrait renouveler sa proposition de loi permettant aux concitoyens d’enterrer son animal de compagnie au sein de leur caveau.
Les bêtes ont leur niche
La proposition de loi du député LR Alexandre Vincendet permettant d’être enterré avec son animal de compagnie ayant été bloquée en commission des Lois par un parlementaire du même parti, celle-ci devrait être reprise dans une niche parlementaire transpartisane. Les groupes Horizons, LIOT ou Renaissance sont sur les rangs pour la présenter, car les amis des bêtes, ça fait beaucoup d’électeurs (on compte 14 millions de chats et 8 millions de chiens en France).
Pour Charles de Courson, le gouvernement est simplement nul
Charles-Amédée du Buisson de Courson est un jeune homme de 70 printemps, bientôt 71, qui pétille de vie, d'indépendance et d'insolence. Elu centriste et réélu député de la Marne depuis 1993, cet énarque n'hésite pas à qualifier certains de ses collègues de "bœufs sans attributs et fiers de les avoir perdus". Lui, en tout cas, "ne se laissera pas acheter par un chef d'Etat dépourvu de toute dimension sociale". Un insurgé, comme son père résistant et son grand-père député, qui vota contre les pleins pouvoirs à Pétain.
Plus modestement, lui qui a souscrit à toutes les lois de réforme de retraites, s'oppose à celle-ci, tant elle lui paraît "injuste et inefficace". Il mènera le combat jusqu'au bout. "Si elle est adoptée, il y aura ensuite des recours devant le Conseil constitutionnel. La réforme ni faite ni à faire pourrait finir en charpie." Emmanuel Macron aussi. "Le roi est plus que jamais nu face au peuple, imbu de lui-même et du mépris de sa caste, avec une équipe gouvernementale nulle, une minorité présidentielle incapable et un Sénat qui aurait voulu aller plus vite sur les régimes spéciaux mais pas sur le sien." Pour lui, une chose est sûre et inquiétante : "Macron laissera un champ de ruines politique."
Les Insoumis vont au-delà des bras d’honneur
Comme député, vice-président et président de l’Assemblée nationale, François de Rugy en a vu des incidents de séances, tels "le doigt d’honneur d’Henri Emmanuelli, le bras d’honneu[...]
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