Bâillonnés, les pilotes de F1 lancent une fronde
Alors que la saison de Formule 1 n'a pas encore commencée, la polémique pointe déjà le bout de son nez dans les paddocks. Un peu à l'image de la Coupe du Monde au Qatar, le premier Grand Prix qui se disputera à Bahreïn, sur la péninsule arabique est soumis à des restrictions concernant les dires des pilotes, mais pas que.
La FIA veut serrer la vis et interdire tout messages politiques venant de la bouche des pilotes à partir de cette année. Las des prises de positions politiques de certains comme Lewis Hamilton, la décision de la FIA ne plait pas à tout le monde.
« Je ne comprends pas pourquoi ils veulent nous contrôler »
Valtteri Bottas, pilote pour Alfa Romeo a été l'un des premiers à réagir à ces restrictions imposées, via des propos rapportés par Motorsport.com : « Je ne comprends pas pourquoi ils veulent nous contrôler. Je pense que nous devrions avoir notre mot à dire sur les choses si nous le voulons. Je regarde la situation dans son ensemble, mais nous verrons ce qui se passera. »
F1 : «Celui qui termine deuxième est le premier à perdre», le coup de pression de Ferrari https://t.co/GRGl1a8eLG pic.twitter.com/Dv6D4NMPLZ
— le10sport (@le10sport) February 4, 2023
La F1 vent debout contre ces restrictions
Par le passé, Lewis Hamilton a fait parti des des pilotes ayant eu beaucoup de prise de position politique. Il avait en effet soutenu les droits des LGBTQI+ lors du Grand Prix d'Arabie Saoudite et les droits humains lors du Grand Prix 2022 de Bahrein. Mais désormais, c'est…
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