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Axa fait son mea-culpa après son crash-test trafiqué d’une Tesla en flammes

Axa Suisse ne s’attendait probablement à l’emballement médiatique que leur mise en scène vidéo a suscité. Après avoir simulé un incendie sur une Tesla en flammes, l’assureur présente ses excuses.

L’assurance Axa présente finalement des excuses. Dans un billet intitulé « AXA présente ses excuses pour les crash tests 2022 », l’entreprise est revenue sur la polémique, qui est née après qu’elle avait faussé un crash-test avec une Tesla.

En voulant démontrer le risque d’embrasement des véhicules électriques, l’assureur s’est fait rattraper par les faits. Pour la démonstration filmée et diffusée, la Tesla était dépourvue de batterie et le feu qui suivait le crash test était mis en scène avec de la pyrotechnie. Pris en flagrant délit de manipulation et de mensonge, le groupe d’assurance a finalement réagi et s’est excusé maladroitement.

Des excuses, oui, mais le mal est fait

Que l’on parle de la vidéo simulant un accident, ou de l’enquête réalisée auprès de clients suisses, rien ne va dans la communication d’Axa Suisse. L’assureur peut bien présenter des excuses, le mal est bien sûr déjà fait. Les anti-véhicules électriques auront tout loisir de récupérer les images de l’assureur pour continuer à expliquer que le véhicule électrique serait dangereux…

axa_excuse
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Dans son message, la société AXA Suisse indique qu’elle ne voulait pas porter préjudice aux véhicules électriques : « Nous regrettons que l’édition 2022 des crash tests ait pu transmettre une mauvaise impression de l’électromobilité ou créer des malentendus à ce sujet.

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