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Avant Miss France, le Puy du Fou accusé de maltraitance animale par des anciens salariés

Des violences sur des tigres, chevaux, boeufs, un daim mangé en barbecue...Quatre anciens salariés accusent le Puy de Fou de maltraitance sur des animaux dans un documentaire d'Hugo Clément.

A quelques jours de l'élection de Miss France 2020 dans son enceinte, voici des accusations dont le Puy du Fou se serait bien passé. Quatre anciens salariés du célèbre parc situé en Vendée ont révélé des faits de violences contre les animaux dans un reportage «Sur le front» d'Hugo Clément. Anonymement, ils ont tour à tour décrit les sévices dont ils disent avoir été témoins. Une personne a raconté comment un daim qui s'était échappé a été rattrapé, abattu, découpé avant d'être mangé en barbecue tandis qu'un autre est revenu sur un épisode traumatisant où il a dû étrangler lui-même un mouton malade parce que le supérieur lui a dit qu'appeler un vétérinaire pour l'euthanasier coûtait trop cher. Une autre accusation concerne l'utilisation d'anesthésiant sur les dromadaires pour «qu'ils soient calmes face au public».

Nicolas de Villiers, le président du Puy du Fou interrogé dans le documentaire, a reconnu que cette méthode avait été utilisée jusqu'en 2008 en accord avec des vétérinaires afin de «diminuer le stress des animaux» et qu'il ne s'agissait pas «d'une drogue». Il a également concédé que des violences sur des chevaux, dénoncées par une témoin dans une séquence, avaient existé. «Il y a des gens qui sont violents et qui ont un comportement violent avec les animaux», a-t-il déclaré, évoquant des «erreurs de casting» dans le recrutement, mais que la dernière personne renvoyée du parc pour ce motif remontait à 2014. «Depuis ça n'existe pas», a-t-il affirmé, contredisant le témoignage de l'ancienne salariée.


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