Publicité
Marchés français ouverture 1 h 18 min
  • Dow Jones

    37 753,31
    -45,66 (-0,12 %)
     
  • Nasdaq

    15 683,37
    -181,88 (-1,15 %)
     
  • Nikkei 225

    38 059,35
    +97,55 (+0,26 %)
     
  • EUR/USD

    1,0685
    +0,0010 (+0,10 %)
     
  • HANG SENG

    16 400,24
    +148,40 (+0,91 %)
     
  • Bitcoin EUR

    57 576,47
    -2 549,10 (-4,24 %)
     
  • CMC Crypto 200

    885,54
    0,00 (0,00 %)
     
  • S&P 500

    5 022,21
    -29,20 (-0,58 %)
     

Aux USA, on abandonne chien et chat pour un logement

Aux USA, on abandonne chien et chat pour un logement

Un animal de compagnie ou un logement. Tel est le choix cornélien que de plus en plus de locataires doivent faire en Californie.

C'est une association locale de protection des animaux qui sonne l'alarme. A San Francisco, le nombre de personnes qui ont abandonné leur animal domestique a véritablement explosé, « à cause de l'impossibilité de trouver un logement pour les accueillir » selon CNN. Dans la ville de Californie, où l'on a bâti à tout va, le foncier se raréfie et les logements sont de plus en plus petits et tassés.

Le boom du logement, qui a mis en compétition sur le marché de plus en plus de candidats au logement plutôt fortunés - généralement dans les nouvelles technologies - a également rendu les propriétaires plus sélectifs. Laissant pour victimes collatérales de ce « marché de propriétaire », outre les candidats recalés, les animaux domestiques.

Des logements 12 % plus chers

Le simple fait qu'un immeuble dise les tolérer (« pet-friendly ») ne signifie pas forcément qu'une personne possédant un animal domestique y trouvera son bonheur. Même si au départ, un bailleur peut être « flexible » quant à l'accueil d'un animal, le choix avec locataire sans chien ou chat l'emportera le plus fréquemment, explique à la chaîne Michael Harrington, président de Pacific Union Property Management.

PUBLICITÉ

Résultat : les logements disposés à accueillir les chiens et les chats coûtent en moyenne 12 % de plus que les autres en ville. Un phénomène plutôt localisé, dans la mesure où la moyenne nationale laisse voir un écart de prix de 3,5 %. En comparaison, à New York, la moitié des logements acceptent les animaux domestiques. Mais au final, selon le journal, le nombre d'appartements où les amis des humains sont tolérés est trois fois plus important.


Retrouvez cet article sur LaVieImmo

Estimez un bien immobilier en quelques clics
Il vend ses hôtels depuis sa cellule de prison
Découvrez la maison en… eau !
Elle apprend à la télé qu'elle louait la maison d'un tueur en série
Ces maisons extraordinaires à Paris