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Au procès du 13-Novembre, le retour de "scènes de guerre" en sons et images

JUSTICE - Une certaine appréhension accompagnait ces audiences. Jeudi 16 et vendredi 17 septembre, le procès des attentats du 13 novembre 2015 réservait une première épreuve pour les parties civiles, alors que des vidéos, photos et sons des attaques ont été diffusés par des enquêteurs de la brigade criminelle venus témoigner au palais de justice historique de Paris.

Comme vous pouvez le voir dans notre vidéo en tête d’article, notre reporter Pierre Tremblay a suivi cette deuxième semaine de procès et raconte l’atmosphère à l’intérieur de la salle d’audience. Au micro du HuffPost, des rescapés du Bataclan et des proches de victimes expliquent aussi pourquoi il était important pour eux de se confronter de nouveau à cette douloureuse réalité.

Il fallait que je me réapproprie le récit. C'était thérapeutique.Marie, rescapée du Bataclan

Au cours de l’audience, des images de vidéosurveillance des explosions au Stade de France et des fusillades sur les terrasses parisiennes, en plus d’une bande sonore du début de l’attaque au Bataclan, ont été diffusés. Chaque fois, le président Jean-Louis Périès prévenait l’auditoire que des documents sensibles allaient être montrés. Si certaines personnes quittaient la salle, de nombreuses parties civiles y sont demeurées, se confrontant de nouveau à l’horreur.

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La cour avait toutefois pris soin de choisir des documents partiellement censurés ou filmés de loin. “On a trouvé l’équilibre entre le souci du détail impératif à chaque procès et le respect des victimes, de leur sensibilité et de leur dignité”, explique notre journaliste.

À voir également sur Le HuffPost : Le début du procès du 13 novembre raconté par notre reporter

Cet article a été initialement publié sur Le HuffPost et a été actualisé.

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