Publicité
La bourse est fermée
  • CAC 40

    8 205,81
    +1,00 (+0,01 %)
     
  • Euro Stoxx 50

    5 083,42
    +1,68 (+0,03 %)
     
  • Dow Jones

    39 807,37
    +47,29 (+0,12 %)
     
  • EUR/USD

    1,0792
    -0,0037 (-0,35 %)
     
  • Gold future

    2 254,80
    +16,40 (+0,73 %)
     
  • Bitcoin EUR

    65 707,45
    +1 688,58 (+2,64 %)
     
  • CMC Crypto 200

    885,54
    0,00 (0,00 %)
     
  • Pétrole WTI

    83,11
    -0,06 (-0,07 %)
     
  • DAX

    18 492,49
    +15,40 (+0,08 %)
     
  • FTSE 100

    7 952,62
    +20,64 (+0,26 %)
     
  • Nasdaq

    16 379,46
    -20,06 (-0,12 %)
     
  • S&P 500

    5 254,35
    +5,86 (+0,11 %)
     
  • Nikkei 225

    40 168,07
    -594,66 (-1,46 %)
     
  • HANG SENG

    16 541,42
    +148,58 (+0,91 %)
     
  • GBP/USD

    1,2625
    -0,0013 (-0,11 %)
     

Attentat de Boston : "Depuis 2008, Obama a privilégié le renseignement"

Galerie - Attentat à Boston : la mort au bout du marathon

Depuis le 11 septembre, la lutte anti-terroriste est une priorité du gouvernement américain. Interview du spécialiste François-Bernard Huygue, chercheur à l'Iris.

L'attentat de Boston pourrait bien être la première attaque terroriste sur le sol américain depuis le 11 septembre 2001. Quel sens doit-on donner à cet événement ?

- Il faut rester encore très prudent sur les informations que nous avons. Mais celui (ou ceux) qui est derrière cette action souhaitait frapper sur un endroit spectaculaire et le marathon de Boston était idéal. Cette course est un événement mythique aux Etats-Unis et diffusée sur toutes les chaînes. C'est un peu comme le Tour de France ici.

L'objectif d'un attentat n'est pas de faire des morts mais de communiquer et de faire la une des journaux. Le choix du marathon peut aussi s'expliquer par la facilité avec laquelle on peut y poser une bombe. Même si, selon les informations partielles dont nous disposons actuellement, le procédé est sophistiqué, il est plutôt aisé grâce à la lecture de quelques revues spécialisées de fabriquer des bombes que l'on déclenche à distance à l'aide de téléphones portables. Pas besoin d'être ancien légionnaire !

PUBLICITÉ

Ensuite, le contexte est favorable à la discrétion puisque plus le site d'une manifestation est étendu, plus il est difficile de le contrôler. C'est le cas pour le marathon de Boston où il n'existe pas de portiques de sécurité, il y a une foule nombreuse, qui court, et qui peut porter des sacs à dos pouvant dissimuler une bombe...

Quelles pistes peuvent être privilégiées selon-vous ?

- J'en vois trois : celle d'un djihadiste qui aurait réussi à frapper sur le sol (...)

Lire la suite sur Le Nouvel Observateur

Attentat de Boston : "Depuis 2008, Obama a privilégié le renseignement"