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Asie. En Birmanie, les généraux putschistes décrètent la loi martiale dans plusieurs villes du pays

Les responsables militaires qui ont pris le pouvoir en Birmanie pour la première fois ont fait planer lundi 8 février la menace d’actions contre les contestataires alors que des foules massives ont de nouveau manifesté contre le coup d’État qui a renversé Aung San Suu Kyi. Certains observateurs redoutent une escalade de la violence.

Face à la contestation populaire qui s’intensifie, l’armée birmane a encore durci le ton lundi. Alors que plusieurs centaines de milliers de personnes sont descendues dans la rue à Rangoun, la capitale économique, les responsables militaires qui ont pris le pouvoir, ont pour la première fois menacé les manifestants de représailles.

La loi martiale a notamment été décrétée dans plusieurs quartiers de Rangoun et de Mandalay (centre), deuxième ville du pays. Les manifestations et les rassemblements de plus de cinq personnes sont désormais interdits et un couvre-feu a été instauré, rapporte CNN.

Le commandant en chef de l’armée, Min Aung Hlaing, s’est par ailleurs exprimé pour la première fois dans la soirée, invoquant de nouveau “des fraudes électorales” lors des législatives de novembre pour justifier son putsch. Il s’est engagé à la tenue d’élections “libres et justes” à la fin de l’état d’urgence d’un an et a promis un régime militaire “différent” des précédents. Pour le quotidien de Singapour The Straits Times, Min Aung Hlaing cherche ainsi à “projeter l’image d’un homme d’État plutôt que celle d’un dictateur”, dans le but de rassurer “les investisseurs et les partenaires étrangers”.

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Mais “la mise en place de la loi martiale rend plus probable le déploiement de soldats dans les rues”, a expliqué le Dr Min Zaw Oo, directeur exécutif de l’Institut birman pour la paix et la sécurité, au

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