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Arménie : une attaque visant le Gouvernement déjouée par les services de sécurité

FREDERICK FLORIN / AFP

Un drame évité. Ce jeudi 2 novembre, l’Arménie a annoncé avoir arrêté cinq personnes soupçonnées d’avoir mis en place un attentat à la bombe, ainsi que des attaques visant des civils et des bâtiments gouvernementaux, a rapporté Le Figaro. D’après les services de sécurité arméniens, cette attaque prévoyait « un attentat à la bombe », « d'autres actes socialement dangereux » et « la saisie de bâtiments gouvernementaux ».

Des armes et des munitions ont été saisies aux domiciles des suspects. L’attaque terroriste avait été « planifiée dans le but d'entraver le fonctionnement des organes du Gouvernement ». Les services de sécurité arméniens n’ont pas fourni plus d’informations quant à l’identité des suspects et leurs motivations.

De fortes tensions politiques

Depuis l’offensive éclair de l’Azerbaïdjan, le 19 septembre dernier, contre les forces séparatistes arméniennes du Haut-Karabakh, le pays connaît de fortes tensions politiques. L’offensive avait été accompagnée de bombardements dans les villes de cette région enclavée où vivaient 120 000 civils arméniens. En France, le ministère des Affaires étrangères avait alors condamné l'attaque azerbaïdjanaise, la qualifiant de « totalement inacceptable ».

De peur de s’enliser dans une nouvelle guerre, le gouvernement arménien a refusé d’aider les séparatistes du Haut-Karabakh. Depuis, les partis d’oppositions manifestent pour la démission du Premier ministre Nikol Pachinian. Ils lui reprochent la défaite militaire de 2020.


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