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Appellation. Coronavirus : le casse-tête des noms des variants

Trouver des appellations qui reflètent les mutations du virus sans faire appel aux noms des pays où les variants ont été repérés est une gageure.

“Alors qu’ils découvrent de plus en plus de variants potentiellement inquiétants du coronavirus Sars-CoV-2, les scientifiques se heurtent à la difficulté de les nommer”, fait remarquer Nature.

Même si c’est une gageure, il est essentiel de pouvoir identifier clairement ces différentes “versions”, en gardant en tête qu’il s’agit toujours du même virus responsable du Covid-19 – qui a subi quelques légers changements – sans pour autant faire intervenir des noms de pays, ce qui pourrait créer d’éventuelles tensions géopolitiques. D’autant que la région où un variant est repéré n’est pas nécessairement celle où il a émergé.

“Après qu’un nouveau variant inquiétant a été découvert en Afrique du Sud, le président et le ministre de la Santé ont demandé aux chercheurs de ne pas inclure le nom de leur pays dans sa dénomination”, raconte à Nature Tulio de Oliveira, bio-informaticien à l’université de Kwazulu-Natal à Durban. La dénomination 501Y.V2 a été retenue. Certains l’appellent B.1.351, selon un système établi par l’université d’Oxford, qui permet de décrire les relations entre les différentes lignées de Sars-CoV-2 et leurs “descendants” évolutifs.

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À lire aussi: Aggravation. Face au nouveau variant, l’Afrique du Sud submergée par la deuxième vague

Reste que, dans les médias, tout le monde parle de variants sud-africain, britannique ou

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