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Anniversaire. Au Nicaragua, l’opposition célèbre tristement la révolte contre Daniel Ortega

Il y a trois ans, le 18 avril 2018, des séries de manifestations commençaient contre le président autoritaire, désormais au pouvoir depuis quatorze ans. Une révolte dont la répression avait fait des centaines de morts.

“Avril dans toutes les mémoires”, titre ce lundi 19 avril sur toute sa une le grand quotidien nicaraguayen d’opposition La Prensa. Une référence au mouvement qui avait débuté le 18 avril 2018 : des manifestations qui allaient durer de longs mois pour demander le départ de Daniel Ortega, le très autoritaire président du pays, ex-guérillero du Front sandiniste de libération nationale, au pouvoir depuis 2007.

La répression de ce mouvement avait fait couler le sang : au moins 328 morts, selon la CIDH (Commission interaméricaine des droits de l’homme), et des milliers d’exilés. “Pour ceux qui ne sont plus là, pour ceux qui demandent justice, pour le Nicaragua”, continue sobrement la une de La Prensa.

À lire aussi: Répression. Au Nicaragua, l’opposition séquestrée à domicile

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Dans une grande partie du pays, de nombreuses messes ont été dites en hommage aux victimes du “mouvement du 18 avril”. De son côté, l’une des principales plateformes de l’opposition, la Alianza Cívica por la Justicia y la Democracia de Nicaragua, publiait un communiqué en ces termes :

Trois ans après ce 18 avril, la lutte continue, les Nicaraguayens n’ont rien perdu ni de leur ténacité ni de leur courage. En cette année 2021, notre peuple exige la liberté, la justice et la démocratie, et aspire à un avenir en paix”.

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